Sur les traces d’un gamin de Paris sous l’occupation allemande
Sur les traces d’un gamin de Paris sous l’occupation allemande
Je ne savais pas à quoi m'attendre en prenant ce roman, car je ne connaissais pas cette auteure.
Mais, en refermant ce roman, je me suis dit que j'aurais dû la connaître plus tôt !
Ce roman est à la fois, tendre, drôle, sensible et très fort.
Il nous parle de la vie, du temps qui passe et des souvenirs et secrets de famille
Yan est une femme forte qui a eu un sacré parcours, fait d'embûches et d'autres moments plus positifs.. Elle est dotée d'un caractère bien trempé mais au cœur d'or et elle s'éteint tout doucement.
Gaëlle, sa petite fille, possède le même caractère de feu que sa mamie mais elle est pétrie de doutes : sur son avenir pro, ses choix en tout genre.
Progressivement, telle la marée qui monte, Gaelle va grandir et se trouver face à cette mer houleuse qu'elle contemple depuis son banc.
Dans ce roman, il est question d'amour des autres et de soi, de résilience, d'acceptation de soi et des autres, mais aussi de lâcher prise.
Il montre aussi que l'empathie et l'écoute sont des attentions très importantes à développer car elles peuvent être sources de beaucoup de confidences et autres explications.
Livre poignant à l'écriture ciselée et sensible qui prend aux tripes .
J’attendais ce roman avec impatience.
Mes 2 précédentes lectures de cette autrice #ilfautbeaucoupaimerlesgens et #cequejenaipasu m’avaient enthousiasmées. J’avais aimé sa plume délicate, la construction de ses romans, les émotions qu’elle nous faisait ressentir.
Une nouvelle fois, je suis tombée sous le charme.
Un roman d’une grande sensibilité, une histoire qui m’a touchée.
Deux femmes, deux parcours de vie.
Yan la grand-mère victime d’un AVC, hospitalisée et malheureusement en fin de vie.
Gaëlle sa petite fille, très attachée à sa grand-mère qui est comme son phare, sa bouée.
Auprès de sa grand-mère, proche du grand départ, Gaëlle pourrait bien trouver enfin sa place.
Yan, du fond de son lit d’hôpital, navigue entre conscience et inconscience.
Gaelle, auprès d’elle, est intriguée par certains propos de sa grand-mère.
Curieuse, elle va tenter de découvrir ce que cache le passé de Yan.
Et ce passé ne sera pas sans incidence.
Comme j’ai été émue par cette histoire. Les mots de Solène Bakowski sont si doux, si tendres tellement plein d’affection et de poésie.
J’ai été touchée par l’histoire de Yan.
La manière dont l’autrice raconte les errances de Yan, les moments de lucidité et ceux ou son esprit s’évade, ou elle est encore là sans plus vraiment y être…
Un roman addictif, d’une belle douceur, qui nous parle d’amour, d’amitié et de l’importance de savoir écouter avec le coeur !
Une fois la dernière page tournée, j’ai refermé ce livre avec délicatesse, presque tendresse.
Comme pour retarder l’au revoir !
Paul, un écrivain reconnu, a quitté Hélène et disparu un an plus tôt, sans un mot d'explication. C'est par Françoise, l'éditrice de Paul, que la jeune femme apprend le décès de l'écrivain, près d'une petite ville de l'est de la France. Accident ou suicide ? Et que faisait donc Paul là-bas depuis un an ?
Hélène et Françoise se rendent aux obsèques de l'écrivain et y découvrent Julien, son vrai prénom, sa famille et peu à peu son passé...
Singulier roman que celui-là, où deux narrations s'entrecroisent : d'un côté Hélène, dans le quotidien ; de l'autre Paul/Julien, dans le passé. Et c'est quand les deux se rejoignent que l'on comprend les ressorts du roman.
Les personnages sont intéressants : Julien, l'adolescent paumé au sein d'une famille castratrice ; l'énigmatique Rachel ; Hélène, l'amoureuse abandonnée ; Paul, la vitrine publique de l'écrivain célèbre ; plus quelques surprises. De bons ingrédients pour un roman intéressant.
L'écriture incite à la lecture : relativement simple, n'abusant pas d'effets de style ou de formules alambiquées. Le texte est rythmé par les deux narrations qui s'entrecroisent et les découvertes que fait Hélène sur le passé de son ex compagnon décédé. Le lecteur y trouve son compte, un peu comme dans un thriller.
Un roman qui mérite d'être découvert.
Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2023/11/28/ce-que-je-nai-pas-su-de-solene-bakowski-chez-plon-interessante-double-narration/
Tout est dans le titre « Il faut beaucoup aimer les gens » et surtout toute sorte de personnes car souvent les plus invisibles sont les plus généreux.
C’est un bon roman roman choral qui se lit simplement, les chapitres sont courts ce qui fait que je l’ai lu très vite.
Les personnages sont très attachants, l’écriture est efficace, la narration est fluide, c’est un livre qui donne le sourire et qui fait donne/redonne foi dans l’humanité.
J’ai beaucoup aimé le personnage de Luciole/Diane qui m’a fait penser à Macha Béranger et son émission nocturne sur France Inter « Allo Mâcha » et donc aussi à Karine Viard dans le film « Parlez moi de vous» de Pierre Pinaud.
Lecture idéale pour la plage ou pour se réchauffer le cœur quand il fait humide !
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