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Olivier Adam

Olivier Adam
Né en 1974, Olivier Adam est notamment l'auteur de Poids léger (adapté au cinéma par Jean-Pierre Améris) et de Passer l'hiver (Goncourt de la nouvelle 2004), disponibles en Points. Il écrit également pour la jeunesse et pour le cinéma.

Articles en lien avec Olivier Adam (2)

Avis sur cet auteur (274)

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    Couverture du livre « Il ne se passe jamais rien ici » de Olivier Adam aux éditions Flammarion

    Sophie Wag sur Il ne se passe jamais rien ici de Olivier Adam

    Annecy, son lac, sa vue sur les montagnes, ses touristes chics, ses habitants qui se connaissent depuis toujours, ses familles claniques qui cachent des secrets.. Et puis un corps retrouvé dans le lac, pas n'importe quel corps, celui d'une jeune femme que tout le monde connait, sur qui beaucoup...
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    Annecy, son lac, sa vue sur les montagnes, ses touristes chics, ses habitants qui se connaissent depuis toujours, ses familles claniques qui cachent des secrets.. Et puis un corps retrouvé dans le lac, pas n'importe quel corps, celui d'une jeune femme que tout le monde connait, sur qui beaucoup fantasmaient. Suicide ou crime? Et si crime: crapuleux par quelqu'un de passage ou crime "passionnel" par un éconduit?
    Un roman choral assez prenant, m'ayant fait penser aux séries criminelles de la télé. J'ai néanmoins bien accroché aux personnages bien campés. Une fin bien construite que je n'avais pas totalement devinée. Un bon roman entre polar et saga familiale!

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    Couverture du livre « Il ne se passe jamais rien ici » de Olivier Adam aux éditions Flammarion

    Thierry P sur Il ne se passe jamais rien ici de Olivier Adam

    C’est vrai que dans ce charmant village sur les bords du Lac d’Annecy , il ne se passe pas grand-chose.
    Surtout hors saison.
    Sauf qu’un matin, on retrouve le corps d’une femme assassinée. L’enquête commence . Plusieurs suspects et un coupable idéal . Idéal vu de l’extérieur parce que vivant...
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    C’est vrai que dans ce charmant village sur les bords du Lac d’Annecy , il ne se passe pas grand-chose.
    Surtout hors saison.
    Sauf qu’un matin, on retrouve le corps d’une femme assassinée. L’enquête commence . Plusieurs suspects et un coupable idéal . Idéal vu de l’extérieur parce que vivant de petits boulots , marginal Mais pour beaucoup , incapable de commettre un tel geste.
    D’autant plus qu’au fil du récit il apparait que la nuit du meurtre plusieurs habitants étaient de sortie ce soir là Alors qui ?
    J’ai aimé que ce roman ne soit pas un polar , même si le déroulement de l’enquête nous tient en haleine , malgré les indices donnés par l’auteur dans sa narration pour que nous, lecteurs, soyons capable assez rapidement de connaitre le coupable.
    J’ai aimé l’écriture d’Olivier Adam, la description qu’il fait des habitants , restés pour la plupart prisonniers de ce village , pour de bonnes ou mauvaises raisons J’ai aimé son choix du roman choral et l’ambiance qu’il réussit à créer
    J’ai aimé les fêlures de chaque personnage, les non-dits, les secrets de famille.
    J’ai moins aimé le coté téléfilm façon « meurtre à Annecy , avec le gendarme affecté à la gendarmerie du village où il a toujours vécu , amoureux de la sœur du suspect , le chef de clinique craint et mal aimé , le patriarche que tout le monde respecte
    Bref une lecture agréable mais un sentiment mitigé du fait que je n’ai pas été vraiment touché par cette histoire et que j’ai ressenti peu d’empathie pour les personnages
    Merci à @book , fournisseuse en romans en tout genre

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    Couverture du livre « La tête sous l'eau » de Olivier Adam aux éditions R-jeunes Adultes

    Anita Millot sur La tête sous l'eau de Olivier Adam

    Mode d’emploi de la destruction d’une famille parisienne : des parents qui quittent la capitale – où leurs enfants sont bien intégrés – pour le « trou du cul du monde » en Bretagne à savoir : Saint-Lunaire (un bled dont le nom fait peur …)

    Léa, la fille ainée ne supporte pas ce déménagement...
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    Mode d’emploi de la destruction d’une famille parisienne : des parents qui quittent la capitale – où leurs enfants sont bien intégrés – pour le « trou du cul du monde » en Bretagne à savoir : Saint-Lunaire (un bled dont le nom fait peur …)

    Léa, la fille ainée ne supporte pas ce déménagement qui l’éloigne de son premier amour … La mère (qui n’aime pas conduire) doit pourtant le faire (deux heures par jour) avant de rejoindre son nouvel établissement scolaire (elle est prof …) Le père (pseudo-journaliste) – sensé sortir d’une énième dépression – ne va toujours pas mieux, au point de parvenir à lasser définitivement sa femme. Seul le fils (et narrateur) Antoine, un collégien solitaire, semble tirer son épingle du jeu, grâce à la découverte de son attirance pour le surf (et la jolie Chloé …)

    Le pire est à venir avec la brutale disparition de Léa et son retour non moins traumatisant, deux années plus tard …

    Un court roman noir (marque de fabrique de l’auteur …) d’une grande qualité. Une intrigue à deux voix : principalement celle d’Antoine, alternée parfois par les mails envoyés par sa soeur Léa. À mi-chemin entre le drame psychologique et le polar. Olivier Adam a une sorte de prédilection pour l’analyse comportementale des adolescents (et pour la Bretagne, cela va de soi !) J’ai pratiquement tout lu de l’auteur, cet « écorché vif » qui ne me déçoit jamais !

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    Couverture du livre « La tête sous l'eau » de Olivier Adam aux éditions R-jeunes Adultes

    Salix_alba sur La tête sous l'eau de Olivier Adam

    Un roman sans prétention, mais qui aborde le maelstrom des sentiments d’adolescents voire de jeunes adultes, face à l’incompréhension de leurs parents. Bon d’accord, un sujet moult fois rabâché, mais qui comme l’espèce humaine, se perpétue toujours malgré tout.

    Comme beaucoup de citadins...
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    Un roman sans prétention, mais qui aborde le maelstrom des sentiments d’adolescents voire de jeunes adultes, face à l’incompréhension de leurs parents. Bon d’accord, un sujet moult fois rabâché, mais qui comme l’espèce humaine, se perpétue toujours malgré tout.

    Comme beaucoup de citadins parisiens, la famille d’Antoine, décide de quitter cet enfer de la capitale qui nuit à leur sérénité, et de façon autoritaire, sans demander l’avis de leurs enfants. Un lieu semble tout trouvé, en Bretagne, dans une ville proche de Saint-Malo : Saint-Lunaire. Mais pour Léa, les balades près des falaises, en observant la faune et la flore, ne peuvent intéresser que les plus de quarante ans ! Quelques temps après, le drame s’installe. Léa disparait de la surveillance de son oncle Jeff, lors d’une rave party. Ce qui plonge les parents dans des états de douleur, de détresse et de chagrin ; sans compter quel sort est réservé à leur enfant. Dans ce cas de tension extrême, de rejet de la responsabilité de chacun, il arrive l’inévitable, le couple explose. Pourra-t-il se ressouder ; quand par miracle, Léa est retrouvée. Commence alors le devoir de la police, des parents de comprendre les faits de sa disparition et de sa séquestration, des conditions de vie subies, des tortures physiques et morales encaissées. En conséquence, une attention primordiale sera la présence et l’aide de sa famille ainsi que de la psychologue de l’hôpital, pour cette adolescente très marquée psychologiquement.

    Un roman, un script ? Une écriture simple, sans fioriture où seuls les faits permettent d’accrocher le lecteur, pour en connaître l’épilogue. Une introspection sur un drame par une famille ordinaire, qui soulignent les raisons du décalage du mot bonheur : dont l’interprétation ne va pas de soi suivant l’âge des personnes. Chacun détient sa vérité et opte ou subit un choix de vie. Un sujet que « Olivier Adam » apporte avec tact et simplicité.