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Ça tombait bien j'étais dans ma période dragon quand j'ai lu La Montagne aux Dragons. Salicorne et Médusa sont deux jeunes sœurs et sorcières qui habitent avec leur oncle Oxalis. Un jour, lors d'une sortie cueillette dans la Contrée, elles croisent le chemin de Julius, et de Brioche son canard. Quelque chose de mystérieux se cache dans son sac à dos....
"Là d'où il vient, on raconte parfois des histoires de sorcières, de fées et de gnomes, mais ce sont des contes pour les enfants. Personne n'y croit..."
Le récit est découpé en petits chapitres assez courts qui rendent la lecture vraiment agréable et rapide. C'est assez efficace pour une lecture du soir, un chapitre ou deux par soir, pour s'entraîner à lire, par exemple.
La mise en page est très épurée, avec des illustrations qui entre-coupent et décorent les paragraphes de textes. J'ai particulièrement apprécié les illustrations des petits amas d'objets (qui apportent beaucoup à l'ambiance et décorent le récit), et celles de pleines pages, qui apportent des moment grandioses.
Il y a de très jolies citations que j'ai relevées. "Julius se dit qu'il aimerait connaître ça, un jour, cet amour, ce lien, cette sensation d'être aussi puissamment important pour quelqu'un d'autre." Côté émotions, on passe par tout, c'est drôle, on a peur, il y a du stress, du courage, de l'amour, du soutien. Tout un panel.
Je crois qu'on me l'avait vendu comme un seigneur des anneaux pour les enfants. Ça m'avait intriguée.
Un duo, qui rejoint par un inconnu, qui partent dans l'aventure dans le but d'accomplir une mission, sous la direction d'un vieux magicien sage... Ça vous rappelle quelque chose ?
Salicorne et Médusa, avec leurs nouveaux compagnons rencontrent plein de péripéties. On explore aussi un panel d'émotions
C'était une lecture aventureuse et sympathique.
#Lamontagneauxdragons #NetGalleyFrance
C’est dimanche et Camille s’ennuie. Les parents de la fillette sont occupés. Alors, elle décide d’aller faire un tour dans le jardin malgré la pluie et le tonnerre qui gronde. La petite fille goûte à la pluie, touche aux herbes mouillées, observe les insectes qui se promènent : une colonne de fourmis rouges, une araignée engluée dans sa toile, des escargots qui passent. Tous les insectes convergent vers un même endroit, le grand arbre. Que se passe-t-il ? Camille très curieuse, décide d’aller voir de plus près.
Le jardin est un grand terrain de jeux pour les enfants. C’est un lieu d’exploration, de découverte et de contemplation. La fillette est heureuse au contact de la nature. Elle ne voit pas le temps passer. Elle développe ses sens (elle respire l’odeur de la pluie, les brins d’herbe lui chatouillent la main, elle observe le mode de vie des insectes, les couleurs sombres du ciel.) mais aussi sa curiosité, sa sensibilité, ses émotions.
J’ai aimé cette mise en avant de la nature servi par un texte simple et juste. J’ai beaucoup apprécié que l’auteur participe à lutter contre les stéréotypes de genre : ici la maman lit le journal et le papa plie le linge.
Les illustrations de Marie Dek mettent magnifiquement en valeur la nature et l’enfance. Le trait est simple et épuré mais les dessins dégagent une atmosphère très chaleureuse, réconfortante et douce. Cette sensation est renforcée par l’utilisation de teintes chaudes comme des nuances de jaune et marron.
« Voilà la pluie » est un très joli album qui invite l’enfant à partir à l’aventure et à regarder la surprenante beauté de la nature de plus près.
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