"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
N'ayant pas lu Monstress, c'est avec cet album que je découvre le travail de ce duo reconnu dans l'univers du comics.
Bon... pour dire vrai, je ne sais pas comment vous parler de cet album.
L'idée de mélanger un récit tranche de vie d'une famille d'expatriés à un récit mystérieux et horrifique aurait dû me séduire, mais ce n'est pas totalement le cas.
J'ai trouvé le récit très confus, on ne sait pas vraiment où l'on va, les flashback n'apportent (pour le moment) pas énormément d'infos et les personnages ne sont pas forcément très attachants.
Je pense que cette série, prévue en trois tomes, mériterait que l'on reparle d'elle, mais plus tard. Il est certain que les prochains chapitres donneront l'opportunité à l'auteure de développer plus amplement ses bonnes idées pour nous permettre d'y voir plus clair et ainsi d'apprécier pleinement cette histoire.
Graphiquement, c'est vraiment très joli. Le trait comme la colorisation de Takeda nous offrent de très belles et riches planches.
En bref, voilà une série qui m'a perdu et frustré mais qui, je pense, sera plus clair et agréable par la suite avec un développement plus poussé.
Une intrigue mêlant fantastique, mystère, trash avec les démons, famille dysfonctionnelle, c'est une trame domestique et paranormal, les illustrations sont belles dans une ambiance horreur, les fans d'horreur apprécieront les aspects macabres et les éléments surnaturels.
Une lecture dérangeante, intelligente et une chronologie moderne se déroule au plus fort de la pandémie de COVID. On aborde aussi la thématique du racisme.
Sino-Américain, Secret, Tuteur, Parents, Horreur, Créatures, Démons.
Ce deuxième tome mélange toujours aussi bien des éléments super mignons à des horreurs sans nom ! Maika découvre des pièces du puzzle de son passé, surtout concernant sa maman, tout en devant combattre des monstres, ainsi que la bête assoiffée de sang qui sommeille en elle. Elle est accompagnée de la petite enfant-renard Kippa et d’un chat parlant, tous les deux super attachants. Ils forment presque une famille ensemble, tout en sachant ce qui se cache dans le corps de Maika. Je suis toujours autant fan des superbes illustrations, très détaillées, aux traits un peu japonais, qui nous présentent un monde fantastique de paysages merveilleux peuplés d’êtres étranges. Une petite merveille d’imagination, à ne pas cependant pas mettre entre toutes les mains : il y a du sang, de la violence et des monstres !
https://livraisonslitteraires.wordpress.com/2018/03/17/point-comics-1/
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