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Marco Pianelli

Marco Pianelli
Il s'appelle Marco Pianelli en hommage à une grand-mère corse, probable inspiratrice de son goût de la lecture. Après des études littéraires, il part à l'étranger en Europe Centrale, où il devient enseignant. De cette période, il garde une saveur fictionnelle d'être l'inconnu dans un m... Voir plus
Il s'appelle Marco Pianelli en hommage à une grand-mère corse, probable inspiratrice de son goût de la lecture. Après des études littéraires, il part à l'étranger en Europe Centrale, où il devient enseignant. De cette période, il garde une saveur fictionnelle d'être l'inconnu dans un milieu, suscitant le doute, l'intérêt, la méfiance, et parfois la menace. Depuis son retour il pratique avec assiduité les sports de combat et la littérature. L'Ombre de la nuit est son premier roman.

Avis sur cet auteur (6)

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    Couverture du livre « La mécanique du pire » de Marco Pianelli aux éditions Jigal

    L'atelier de Litote sur La mécanique du pire de Marco Pianelli

    Nous quittons Paco Sabian dans L'ombre de la nuit pour le retrouver sous un nouveau nom d'emprunt : Mano Lander. Changer de nom pour mieux se fondre dans l’anonymat et toujours prêt à venir en aide à son prochain, surtout lorsqu'il s'agit d'une aussi belle femme que Marie. Son mari policier...
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    Nous quittons Paco Sabian dans L'ombre de la nuit pour le retrouver sous un nouveau nom d'emprunt : Mano Lander. Changer de nom pour mieux se fondre dans l’anonymat et toujours prêt à venir en aide à son prochain, surtout lorsqu'il s'agit d'une aussi belle femme que Marie. Son mari policier s'est-il vraiment suicidé ? L'enquête menée par Lander va se révéler pleine d'actions, un coup de pieds dans la fourmilière et rien ne va plus. Cet ancien soldat, agent secret super entraîné va se dévoué pour que la vérité jaillisse et dans le même temps mener ses propres affaires. Il reste un personnage exceptionnel, taiseux attachant avec les gentils et sans pitié avec les méchants, une vraie caricature qui fonctionne super bien. Un polar bodybuildé qui n'en finit pas de nous surprendre, où tous les coups sont permis. Il y a du Rambo en lui, dur à la douleur et fin stratège, rien ne lui résiste ou presque. L'utilisation des réseaux sociaux et autres gadgets connectés donne à l'intrigue un côté très actuel.
    Un style aussi percutant que son personnage. C'est dynamique et enlevé, on ne s'ennuie jamais. J'ai apprécié d'en apprendre un peu plus sur notre très mystérieux personnage. Les descriptions des combats sont jubilatoires et graphiques, de quoi visualiser la scène comme si on était au cinéma. En les lisant j'avais parfois la sensation d'être en slow motion. On ne compte plus les nombreux personnages secondaires, de vrais pourris, corrompus jusqu'à la moelle au sein de la police mais aussi des mafieux locaux toujours prêt à tout pour agrandir leur territoire. Tout cela nous donne un sombre aperçut de la nature humaine où règne l'intérêt personnel, l'injustice et la violence.
    Une lecture plaisir que l'on est incapable de poser trop longtemps. Je lui souhaiterai bien de trouver le repos du guerrier mais en même temps j'adore découvrir les nouveaux challenges qu'il doit relever, j'espère que nous pourrons encore le retrouver dans un prochain roman. Bonne lecture.

    http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2022/07/09/39531810.html

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    Couverture du livre « L'ombre de la nuit » de Marco Pianelli aux éditions Jigal

    jml38 sur L'ombre de la nuit de Marco Pianelli

    Une route, la nuit, la pluie. Un auto-stoppeur. Une voiture qui s'arrête.
    Paco est très étonné. C'est une femme qui accepte de l'avancer vers son lieu de destination.
    Cette femme, c'est Myriam. Elle cherche depuis cinq ans son fils qui a disparu sur cette route.
    Il n'en faut pas plus à Paco...
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    Une route, la nuit, la pluie. Un auto-stoppeur. Une voiture qui s'arrête.
    Paco est très étonné. C'est une femme qui accepte de l'avancer vers son lieu de destination.
    Cette femme, c'est Myriam. Elle cherche depuis cinq ans son fils qui a disparu sur cette route.
    Il n'en faut pas plus à Paco pour changer son programme.
    La suite est explosive. Personne ne sait qui est Paco, d'où il vient et quel est son passé. Mais beaucoup regrettent vite d'avoir croisé son chemin.

    J'ai tout de suite pensé à ces westerns dans lesquels un homme sorti de nulle part prend fait et cause pour les faibles et affronte une horde de méchants. Paco est un peu le cavalier solitaire de « Pale Rider ».
    Il n'est pas tout à fait seul contre tous puisqu'un gendarme lui fait confiance et lui apporte son concours dans une quête de la vérité pleine de danger.

    Le roman ne se démarque pas par l'originalité de son intrigue, mais devient assez vite addictif grâce à son dynamisme. Le récit est rythmé par de violentes bagarres, comme autant de duels jalonnant les films de John Ford, le bon face aux méchants.
    Et comme dans les bons vieux westerns, se profile l'ultime combat. Celui de deux champions sûrs de leur force, mais dont un seul doit rester debout.

    Une lecture pas prise de tête à recommander à ceux qui ne craignent pas que l'action prenne sérieusement le pas sur la psychologie.

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    Couverture du livre « La mécanique du pire » de Marco Pianelli aux éditions Jigal

    Yv Pol sur La mécanique du pire de Marco Pianelli

    Ouh la, ça dépote, ça décoiffe, ça envoie du lourd, ça déménage ! Action survitaminée à toutes les pages. Et m'est avis que ce n'est pas si simple en écriture qu'en cinéma. Marco Pianelli s'en sort très haut la main si l'on aime le genre et même si sans y adhérer totalement, comme moi, on prend...
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    Ouh la, ça dépote, ça décoiffe, ça envoie du lourd, ça déménage ! Action survitaminée à toutes les pages. Et m'est avis que ce n'est pas si simple en écriture qu'en cinéma. Marco Pianelli s'en sort très haut la main si l'on aime le genre et même si sans y adhérer totalement, comme moi, on prend le risque e commencer son livre, car, ferré et totalement et pris par le rythme, l'intrigue et les personnages, il devient difficile d'en sortir. C'est violent, évidemment, dur, parfois à la limite du supportable pour une petite âme sensible comme la mienne, mais quel bouquin !

    Mano Lander, ex Paco Sabian rencontré dans le précédent roman de l'auteur L'ombre de la nuit, change d'identité pour brouiller les pistes et empêcher quiconque de remonter à lui. Son personnage est un peu développé dans ce roman, au moins les raisons qui l'ont poussé sur la route à aider la veuve et les orphelins. C'est un solitaire sur-entraîné et prêt à tout. Aucun scrupule, aucune attache, mais il est bien sympathique quand même, il vaut mieux l'avoir dans son camp que contre soi.

    Je n'ai pas pu résister à lire quasiment en une traite ce roman très noir, brutal. Autant je n'aime pas les films de gros bras, répétitifs et convenus voire conformistes et moralisateurs, autant ce roman est une vraie dose d'adrénaline sans bouger du canapé. En outre, il évite les écueils du cinéma, et sait poser des questions sur la société, son hyper connectivité, sa violence, son chacun pour soi, sa fin inéluctable : "La décadence des plus grandes civilisations s'enracinait dans leur grandeur, quand la faiblesse en leur sein les y prédestinait." (p.222)

    Et le lecteur romantique que je suis -on ne rigole pas- de se prendre à rêver d'une happy end tout en redoutant le tragique. Qu'adviendra-t-il ?

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    Couverture du livre « L'ombre de la nuit » de Marco Pianelli aux éditions Jigal

    Dominig 84 sur L'ombre de la nuit de Marco Pianelli

    Ce roman m'a pris, et je n'ai pas pu le quitter, sauf quand j'ai vu le mot "fin".
    Pour un premier roman, Monsieur Marco Pianelli réalise un coup de maître.
    Merci à Babélio, et aux éditions Jigal, de m'avoir fait découvrir ce livre.
    Il est très attachant ce Paco Sabian, il est libre, n'a peur...
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    Ce roman m'a pris, et je n'ai pas pu le quitter, sauf quand j'ai vu le mot "fin".
    Pour un premier roman, Monsieur Marco Pianelli réalise un coup de maître.
    Merci à Babélio, et aux éditions Jigal, de m'avoir fait découvrir ce livre.
    Il est très attachant ce Paco Sabian, il est libre, n'a peur de personne, se sort de situations insolubles, et possède un brin d'humanité au dessus de la moyenne. J'ai été ravi de faire sa connaissance au travers de cette lecture.
    Bien sûr j'ai tout de suite compris qu'il sortait du commun et nul doute que la série de ses exploits ne fait que commencer.
    En marchant sous la pluie, sur une petite route il est pris en stop par une femme sans qu'elle ne lui pose de questions dans un premier temps. Le courant passe, il reste chez elle et devient l'homme providentiel qui va rechercher la vérité dans la disparition de son fils 5 années auparavant. Il rencontrera l'officier de gendarmerie qui ne connaissait pas l'enquête initiale, ils vont devenir complices et presque "amis"
    Le domaine de la boxe est abordé avec des personnages pas très recommandables, de nombreuses bagarres, beaucoup de sang, et des descriptions dignes d'un scénario de cinéma, on s'y croirait.
    Bref, j'ai adoré cette lecture et surveillerai la suite des aventure de Paco Sabian.
    J'ajoute à ce commentaire, pour les éditions Jigal, et l'auteur, si cela peut permettre de les aider, que le chapitre 47 apparaît après le 44 et avant le 46, ce qui en réalité devrait être le 45. Et surtout que Langogne ne se situe pas en Ardèche mais en Lozère.

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