"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Suite du run de Charles Soule sur Dark Vador (2017).
Accompagné du grand inquisiteur, le seigneur Vador se lance à la recherche des jedi survivants pour poursuivre leur extermination. Sa mission va se concentrer sur une jedi en particulier que Dark Sidious veut récupérer vivante. Nous suivons ensuite les premiers pas de Vador dans le nouvel empire, dans lequel personne ne le connait jusqu'à ce qu'il s'impose par la force comme bras droit de l'empereur.
Un tome tout aussi bon que le premier, qui explore les débuts douloureux de Anakin en tant que Vador. La frustration de ne pas être reconnu l'amènera une nouvelle fois a faire de nombreuses victimes, et le comportement de l'empereur, qui ne montre aucune confiance en son jeune apprenti, ne va pas améliorer les choses.
On perçoit également, entre le titre de ce tome (les ténèbres étouffent la lumière) et quelques passages de méditation de Vador, qu'il n'aurait pas fallu grand chose pour que celui ci "redeviennent" Anakin.
Tome 3 de cette très bonne série de 2017 sur Dark Vador, mers de feu, qui monte en puissance petit à petit.
L'empire continue de s'installer dans la galaxie et s'attaque cette fois à Mon Cala, qui nous permet de retrouver un personnage connu de la saga ("it's a trap!" Vous l'avez?).
Au delà de la conquête de l'univers, il s'agit de nous montrer les rapports conflictuels qu'entretiennent Vador et Tarkin, tout deux voulant être le n°2 de Palpatine.
Vador y est de plus en plus terrible, violent, sans foi, prêt à tout pour arriver à ses fins. On peut aussi y voir de la folie, quand il demande à Tarkin de le traquer telle une bête sauvage dans le but encore une fois de prouver qui est le plus fort.
L'annuel qui accompagne ce tome vient faire le lien avec le film Rogue One (on y retrouve là aussi des têtes connues) et permet de montrer un Vador "humain", bien que son but premier est de doubler Tarkin.
2017, Charles Soule prend les commandes d'une série sur Dark Vador, qui se déroule directement après l'épisode 3 et la naissance de Dark Vador.
Je vais aller droit au but, ça claque.
Dans ce premier tome, on suit dark Vador à la recherche de son sabre. Il va faire de nombreuses victimes sur sa route, révélant son côté violent et sans pitié, allant jusqu'à sacrifier des civils innocents. Il rencontrera également le grand inquisiteur, personnage connu de star Wars rebels. Et sera accompagné de son maître, le terrible dark sidious.
Visuellement, le travail de Giuseppe Camuncoli est magnifique. Les scènes d'action sont dynamique, les effets de lumières, les décors, les détails dans les costumes, les vaisseaux...
Tome 4 du seigneur noir des sith, la forteresse de Vador.
Je suis plutôt surpris de cette conclusion. Après avoir suivi Vador dans ses débuts, l'acquisition du sabre rouge, son premier jedi tué, comment il s'est imposé à Palpatine face à Tarkin....nous voilà de retour sur mustafar où la forteresse va être construite.
Jusque là tout va bien.
Mais Charles Soule a décidé d'intégrer un nouveau personnage. Un créateur? Un sith? On ne sait pas vraiment. Son âme semble vivre dans son casque qui prend possession du corps sur lequel il est fixé. S'en suit 8 versions de forteresse avant de trouver la bonne. Le récit prend des airs de gag sortie d'Astérix et Obélix. Le temps n'a plus d'impact. Vador pourrait être sur place depuis 2 jours ou 2 ans.
J'ai du mal avec cette idée.
Puis la science fiction qu'est star Wars devient fantastique et même métaphysique. Le dernier chapitre étant un voyage de Vador dans un monde parallèle mystérieux à la recherche de vérité.
Autant visuellement j'ai adoré, autant au niveau du scénario je n'ai pas du tout était séduit.
Un tome qui reste malgré tout très intéressant à suivre, visuellement magnifique, et qui conclut une série de très bonne qualité.
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