Essai autobiographique, ce texte est une réflexion sur l’écrivain, sur l’écriture.
L’auteur s’est fait dérober sa mallette dans laquelle se trouvait, entre autres, son dernier manuscrit dont il n’a aucun double.
Dès lors, il se sent dépossédé, il se révolte, puis s’interroge.
Sur ce texte, qu’il serait incapable de réécrire, sur ses autres livres et ce qui les a motivés, sur la nécessité d’écrire, sur la vieillesse.
Il décrit aussi le traumatisme d’un vol et les idées noires qui en découlent.
La maîtrise et la finesse du style sont celles d’un grand et véritable écrivain.
L’amour des mots et du langage transparaissent à chaque page.
Bleu comme la nuit
Que seraient-ils devenus ? barrès
Le cycliste du Lundi
Eau-de-feu
Les chiens à fouetter
Dogs in the Louvre
La maison mélancolie
Prince des berlingots
Neuf histoires françaises
Lettre à mon chien ; à défaut de génie ; Bratislava ; le musée de l'Homme ; un petit bourgeois ; roman volé
Bratislava
Roman volé
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