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Charles-Maxence Layet

Charles-Maxence Layet
Didier van Cauwelaert est né à Nice en juillet 1960. Didier van Cauwelaert commence à écrire des romans très jeune, en fait à l'âge de 8 ans. L'année suivante, il envoie son premier manuscrit, un polar, l'histoire d'un serial Killer en culottes courtes, aux éditions Gallimard, sûr d'... Voir plus
Didier van Cauwelaert est né à Nice en juillet 1960. Didier van Cauwelaert commence à écrire des romans très jeune, en fait à l'âge de 8 ans. L'année suivante, il envoie son premier manuscrit, un polar, l'histoire d'un serial Killer en culottes courtes, aux éditions Gallimard, sûr d'être publié. Refusé par les éditeurs pendant 13 ans, il persévère. Passionné de bandes dessinées, il écrit alors un scénario qu'il envoie au peintre Marc Chagall, le voisin de son oncle, pour qu'il le dessine (refus poli). À 12 ans, il écrit le livret d'un opéra pour guitare qu'il envoie à Alexandre Lagoya (aucune réponse). Sa première publication se fait dans le 'courrier des lecteurs' du magazine 'Télé 7 jours', que l'entretien imaginaire du jeune auteur avec Greta Garbo a séduit Après quelques années consacrées au théâtre (il joue Sartre, met en scène Beckett, Anouilh, lonesco) et une brève carrière de critique littéraire pour une télévision régionale. La consécration, attendue depuis plus de dix ans, vient en 1982 avec la publication de son premier roman Vingt ans et des poussières. En 1983, alors que se joue au théâtre sa pièce L'Astronome, il fait son service militaire au 12e Régiment du Train, avec Patrick Bruel. Ensemble, ils écrivent et montent le spectacle de Noël pour les enfants des gradés. Cette action héroïque leur vaut la médaille du régiment. Il a attendu longtemps le succès, mais aujourd'hui, avec l'impulsion du prix Goncourt en 1994, les ventes de ses romans atteignent les 700 000 exemplaires. Il admire Marcel Aymé de même que Romain Gary. Il reçoit le prix Goncourt en 1994 pour Un aller simple, le prix de la Fondation del Duca pour son premier roman, Vingt ans et des poussières, le prix Roger-Nimier en 1984 pour Poisson d'amour, le prix du jeune théâtre de l'Académie française et prix de la fondation Johnson pour L'Astronome, le Grand Prix des lecteurs du Livre de poche en 1999 pour La vie interdite, le prix Gutenberg du livre 1988 pour Les vacances du fantôme. Didier Van Cauwelaert s'est également vu attribuer le Molière 1999 du meilleur spectacle pour son adaptation au théâtre du Passe muraille. Ses pièces (L'astronome, Le nègre, Française et Noces de sable) lui ont valu le Grand Prix du théâtre de l'Académie française. Il se frotte régulièrement au cinéma, comme scénariste et dialoguiste (La Maison assassinée, L'Invité surprise, Triplex, Feu sur le candidat, Un Aller simple) et comme réalisateur (Les Amies de ma femme). L'auteur affirme aimer écrire dans la quiétude de la campagne et préférer la fréquentation des jardiniers à celle des milieux littéraires. Il tient à s'adresser au plus large public possible, pas seulement aux intellectuels, et c'est d'ailleurs par peur de l'hermétisme qu'il n'écrit pas de poésie. Quand il n'écrit pas, il fait du sport, s'occupe de son jardin ou de ses vieilles voitures : une Rover 1960 et une Jaguar 1968.

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Avis sur cet auteur (185)

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    Couverture du livre « Le principe de Pauline » de Charles-Maxence Layet aux éditions Le Livre De Poche
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    Couverture du livre « Les témoins de la mariée » de Charles-Maxence Layet aux éditions Le Livre De Poche
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    Couverture du livre « Sans identité » de Charles-Maxence Layet aux éditions Albin Michel
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    Couverture du livre « L'Enfant qui sauva la Terre » de Charles-Maxence Layet aux éditions Albin Michel

    Squirelito sur L'Enfant qui sauva la Terre de Charles-Maxence Layet

    Un roman très court mais qui incarne parfaitement l’esprit du romancier : humain, positif et solaire.

    Le sujet est pourtant grave, l’action se situant dans une unité pédiatrique de maladies quasi incurables. Thomas en fait partie. Ce qui va pourtant bouleverser tous les diagnostics est qu’il...
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    Un roman très court mais qui incarne parfaitement l’esprit du romancier : humain, positif et solaire.

    Le sujet est pourtant grave, l’action se situant dans une unité pédiatrique de maladies quasi incurables. Thomas en fait partie. Ce qui va pourtant bouleverser tous les diagnostics est qu’il va être porteur d’une mission dirigée par un clown : sauver la terre. Vaste programme pour une planète atteinte, également, d’un mal quasi irréversible. Thomas pourra-t-il sauver la barrière de corail, les abeilles, les catastrophes climatiques...

    D’aucuns pourraient trouver ce récit excessivement léger, voire puéril. Il n’en est rien. Derrière la fable, de profonds sentiments surgissent et un appel à se réveiller est manifeste. Sauver la terre c’est se sauver soi-même. Prendre soin de soi sans refuser d’écouter son corps ; ne pas s’empoisonner, ne pas empoisonner l’environnement.

    Les petites marques de fabrique de Didier Van Cauwelaert ne manquent pas à l’appel, une écriture sans langue de bois pour remettre certains faits en place, comme par exemple, la crise du Covid ou les voitures électriques dites écologiques. Quel grand bien cela fait !

    Le domaine de Squirelito ==> https://squirelito.blogspot.com/2024/12/noisette-desperance-lenfant-qui-sauva.html

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