Le film de Mathias Malzieu sort au cinéma le 11 mars
« Surprisiers : ceux dont l'imagination est si puissante qu'elle peut changer le monde - du moins le leur, ce qui constitue un excellent début. ».
Après le bouleversant Journal d'un vampire en pyjama, Mathias Malzieu retrouve la veine du merveilleux de La Mécanique du coeur avec cette Sirène à Paris, l'histoire d'amour impossible entre un homme et une sirène dans le Paris contemporain. Nous sommes en juin 2016, la Seine est en crue. De nombreuses disparitions sont signalées sur les quais. Attiré par un chant aussi étrange que beau, Gaspard Snow découvre le corps d'une sirène blessée, inanimée sous un pont de Paris.
Il décide de la ramener chez lui pour la soigner, mais tout ne passe se pas comme prévu. La sirène explique à Gaspard que les hommes qui entendent sa voix tombent si intensément amoureux d'elle qu'ils en meurent tous en moins de trois jours. Quant à elle, il lui sera impossible de survivre longtemps loin de son élément naturel...
À travers ce conte moderne, Mathias Malzieu questionne l'engagement poétique et le pouvoir de l'imagination dans une époque troublée. Ce livre est une déclaration d'amour à l'amour, au panache, à l'épique, à la camaraderie et à la surprise.
Le film de Mathias Malzieu sort au cinéma le 11 mars
encore une merveilleuse lecture!
« UNE SIRENE à PARIS »
un conte cette fois, pour varier les plaisirs, celui de la rencontre d’une sirène et d’un « surprisier » (« surproduire » me corrige IPhone oui c’est aussi un peu ça Lolll non?) tous les deux authentiques.
Et comme eux, les autres personnages tellement drôles, justes et attachants !
quel bonheur cette jolie écriture toute simple et si poétique! quel humour! quel talent ce Mathias Malzieu mais qui est-il?!!! @mathiasdionysos
Ce n’est pas son coup d’essai
Il aurait déjà commis 2 autres fables romancées, et il serait musicien, sort un nouvel opus avec son groupe #Dyonisos et prépare même un film éponyme.... poke @fab.xav tu vas adorer !! etBRAVO @editionsalbinmichel pour avoir édité cette perle que vous décrivez d’ « homme-poétique » sur la jaquette c’est bien trouvé,
encore BRAVO de nous enchanter !!
Le lendemain..... Ça y’est je l’ai fini bouhhhhhh
je confirme : courrez vous le procurer et faites le tourner! même les ados, surtout nos ados doivent le lire! tous!
et une anecdote trop drôle,
Je l’ai réouvert après le déjeuner comme si de rien n’était et alors là double punition : “t’es bête, tu l’as fini!!!” bouhhhh
AVIS posté sur mon Instagram EMMANUELLEM06 le 20 FEVRIER 2019
J'ai découvert son auteur lors d'une soirée mille lecture d'hiver en 2020 avec journal d'un vampire en pyjama.
Ce livre est plus léger et un fantastique mais agréable à lire. A l'occasion j'aimerais voir le film qui en en résulte
Une sirène à Paris fut ma toute première expérience d'audiolecture et je dois dire que ce livre s'y prêtait vraiment bien. La musique est toujours très importante dans les livres de Mathias Malzieu (lui même chanteur de son groupe Dionysos), écouter l'auteur raconter son propre livre en y glissant quelques mélodies donne ainsi une vraie consistance au récit et le rend extrêmement vivant !
Mais l'histoire est malheureusement beaucoup trop classique. Elle fait beaucoup penser au film Splash (un vieux film de 1984 avec Tom Hanks) à ceci près que cela se passe à Paris. La Seine est en crue et va recracher Lula, une sirène, que Gaspard va sauver et dont il va, forcément, tomber amoureux.
Amour impossible, plume poétique, ambiance feutrée du Flower Burger, c'est du 100% Mathias Malzieu, et c'est bien le problème. Je n'ai rien trouvé d'original dans ce livre, pas d'étincelles, pas d'émotion. On se rend compte que les livres de l'auteur finissent par tous se ressembler, on se lasse de ses phrases ultra imagées, de ses références à la pop culture et de ses histoires d'amour un peu naïves.
Mais ça se lit (ou plutôt, dans mon cas, ça s'écoute), ça ne prend pas la tête et on passe tout de même un bon moment. Ce livre doit être vraiment sympa si l'on ne connaît pas les autres récits de l'auteur, sinon, ça lasse.
https://bookshowl.blogspot.com/2020/09/une-sirene-paris-mathias-malzieu.html
Un roman que j'ai moins apprécié que les précédents...
J'ai mis un peu de temps avant de réussir à me plonger dans l'histoire. Mais une fois l'histoire bien lancée, je l'ai terminé rapidement.
Un avis mitigé donc...
Bienvenue dans le monde des surprisiers où la banalité est le pire des défauts. Aimez-vous les contes de fées ? Si c'est le cas, les jeux de mots poétiques de Mathias Malzieu vous enchanteront et vous transporteront dans l'univers aquatique des sirènes. Et quand la belle sirène Lula rencontre Gaspard le surprisier, les étincelles sont au rendez-vous ! Dans un Paris submergé par la crue, une sirène de salle de bains et un voleur de tuk-tuk vont braver tous les interdits.
Avec son écriture si reconnaissable, Mathias Malzieu nous emmène dans sa folie douce à bord du Flowerburger, une péniche cachant un passage secret pour zazous et des hamburgers à fleurs. Je me suis délectée de cette lecture cocasse qui met du baume au coeur. J'ai maintenant hâte de découvrir la musique et le film réalisés à cette occasion. Avec cet auteur pas de doutes, un voyage surprenant et magique nous attend a chaque coin de page ! A lire d'urgence pour échapper à la monotonie ! Merci lecteurs.com pour cette plongée féerique.
PARCE QUE … les chansons de Dionysos font partie de la bande -son de ma vie depuis plus de 20 ans
PARCE QUE … j’avais adoré le film « La Mécanique du cœur » sans en avoir lu le roman
PARCE QUE …prendre comme point de départ la grande crue de 2016, je trouvais cela dément
PARCE QUE … Mathias Malzieu est le parrain du centenaire de Boris Vian
PARCE QUE … J’étais passée à côté lors de sa sortie en 2019 mais qu’immédiatement les tons sépias de la nouvelle couverture m’ont attirée en me rappelant ceux du film « Amélie Poulain » que j’affectionne tant
PARCE QUE … nous sortions de deux mois de confinement et que j’avais envie de dépaysement et d’immersion dans une nouvelle bulle avec la perspective de découvrir, le roman, puis l’album et enfin le film qui allait ressortir en salle et que la démarche « totale » et un peu folle de l’auteur me plaisait énormément
J’AVAIS TERRIBLEMENT ENVIE D’AIMER « Une sirène à Paris » ….
Tous les ingrédients étaient a priori réunis pour que je plonge dans ce bain de folie . Et bien non… je ne dirai pas que ce fut la douche froide pour autant mais pas le grand saut et les frissons escomptés !
J’ai énormément aimé la vision de Paris sous les eaux déjà présentée par Tatiana de Rosnay dans « Sentinelle de la pluie ». Mais là où la romancière utilisait cette crue comme une métaphore des sentiments qui débordent et de tous les non-dits qui remontent à la surface au sein d’une famille, Malzieu choisit lui de souligner l’irréel dans le réel et de nous faire voir autrement des lieux qu’on ne voit même plus à force d’habitude. Cette poésie du quotidien, je l’ai retrouvée aussi dans l’évocation du personnage de la grand-mère Sylvia et de son bateau cache de résistants qui devaient réenchanter un monde bien terne à la joie en berne en se transformant en « rêveurs de combats » et en distribuant la nuit livres et jouets pour redonner espoir et raison de vivre aux autres. On les surnommait les « surprisiers ». Elle est bien jolie cette idée d’être passeurs d’émerveillement …
J’ai trouvé intéressante la façon contradictoire qu’avaient le héros Gaspard Snow et son père de vivre leur deuil de cette aïeule chérie : le père cherchant à se délester, à couper les amarres pour pouvoir survivre, Gaspard s’enfermant dans le passé et les souvenirs dans un appartelier transformé en mausolée.
J’ai enfin été conquise par la relation du crooner et du « poisson-fille ». Gaspard, quitté par son grand amour, la chanteuse Carolina, a eu le cœur brisé et se croit immunisé. Il pense être insensible aux charmes (au sens physique mais aussi poétique : le charme c’est aussi le chant et le poème) de cette nouvelle chanteuse hyperbolique qu’est Lula la sirène qui se sert de sa voix pour se protéger des hommes et les tuer. C’est une belle métaphore de la défiance qu’on peut éprouver à démarrer une nouvelle relation amoureuse après une rupture. Comment cela nous met en danger mais comment cela nous fait vivre également plus vite et plus fort. A travers son héros, Malzieu se livre : il porte lui aussi un chapeau mou, joue du ukulélé, fait du skate et bien sûr est chanteur. C’est finalement une nouvelle facette autobiographique, moins directe et moins réaliste que l’autre livre que j’ai lu de lui , le si beau « Histoire d’un vampire en pyjama » mais le discours est finalement le même : « ce qui ne tue pas rend plus fort » … Cette relation est l’occasion de très beaux moments : j’ai ri en imaginant la scène du coquelicophone (un harmonica multiple) qui, comme les spaghettis de « La Belle et le clochard » donne lieu à un rapprochement candide des deux protagonistes dans un baiser ….musical !
Pourtant, quelque chose n’a pas réellement fonctionné … Je crois que j’ai été gênée par la narration ramassée : l’histoire se déroule en trois jours parce que Lula ne peut pas vivre loin de son élément trop longtemps. Là où l’auteur recherche à créer un sentiment d’urgence, j’ai eu celui de trop-plein. Trop d’événements dans ce court roman qui se retrouve aussi encombré que l’appartement du héros. Trop de personnages aussi : à l’histoire de Lula et Gaspard fait écho celle de Milena et Victor mais même si cette dernière introduit un nouvel opposant à la romance des deux jeunes gens et crée donc du suspense, elle m’apparaît superflue et redondante. Il me semble également que Malzieu est quelque peu encombré par sa référence à Boris Vian : mots-valises (appartelier, assomnifère etc ..), objets insolites (en guise de pianocktail , il invente un photomaton musical qui grave un disque en chocolat, exemplaire unique qu’on peut ensuite dévorer) et même personnages : le cuisinier confident de la péniche du Flowerburger est un cousin de celui de Colin. Et j’ai été surtout déçue par une écriture emplie de métaphores et de comparaisons qui deviennent indigestes : la femme désirable est ainsi comparée à toutes sortes de pâtisseries ce qui en plus d’être un brin machiste devient lassant. A trop vouloir « faire joli », Le poétique se mue en poé « tics » …et c’est dommage.
J’ai passé un agréable moment mais loin de l’émerveillement escompté. Je remercie cependant le site Lecteurs.com, Mathias Malzieu et les éditions Albin Michel qui m’ont permis cette expérience. Pour la prolonger, je ne relirai pas cette œuvre mais écouterai « Surprisier » le nouvel album de Dionysos qui lui a eu tout l’effet recherché !
Merci à lecteur.com de m'avoir permis de gagner ce livre.
Depuis le début du groupe de rock Dyonisos j'adore l'écriture de Mathias Malzieu.
Une sirène à Paris répond à toutes mes espérances, il y a beaucoup de poésie, de la folie, de l'amour...
Un homme découvre par hasard une sirène blessée sur un quai à Paris. C'est le début d'une course contre la montre.
L'écriture est très poétique, on reconnaît l'univers de Mathias Malzieu dès les premières phrases.
C'est un très beau roman qui fait du bien.
Une sirène à Paris, dernier roman de Mathias Malzieu, une nouvelle promesse de lecture agréable !
Pour commencer, l'objet livre est très beau, avec ses rabats et la texture agréable et en relief de sa couverture.
Puis, on l'ouvre. Je ne cache pas qu'il faut 30 à 40 pages pour bien comprendre où il nous emmène, mais ensuite... Telle une sirène, j'ai plongé dedans, jusque les profondeurs de la fin, c'était à couper le souffle. J'ai adoré me laisser entraîner dans cette lecture pleine de mignonitude (oui oui !). La qualité d'écriture est toujours au rendez-vous, avec certaines tournures de phrases parfois poétiques, on retrouve le parolier!
Cette histoire... Gaspard, au coeur brisé maintes fois, se bat pour la péniche de sa grand-mère, lieu de spectacle culturel et d'originalité. Un jour, sur les quais, il trouve une sirène... Je n'en dis pas plus!
J'ai hâte d'entendre l'adaptation musicale de récit, en espérant être aussi séduite que par La mécanique du coeur (que je considère comme le bijou ultime!).
Un grand oui pour ce livre !
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