L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Comment éprouver le sentiment d'être en vie, le préserver, garder la beauté ? C'est ce qu'interroge Claudine Galea dans un texte à la lisière des genres qui creuse la matière-même de l'écriture par une langue multiple (souvenirs, propos, fantasmes, ressouvenirs, citations, extraits...). L'écriture est ici dans la chair.
Si elle parle nommément, clairement, de son histoire (son père, la guerre d'Algérie, les souvenirs de cela), l'écrivaine est aussi devant nous habitée par la présence vivante de la littérature, sans distinction entre passé et présent (Büchner mais aussi Falk Richter, un « frère » d'écriture). Comme une communauté de personnages et d'êtres hantés qui nourrissent et portent la pensée, la dramaturgie, la langue, le possible d'une écriture.
Aucune considération nombriliste mais une transcendance vers des questions essentielles, existentielles.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique