L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
"Un paradis de poussière est écrit dans la suite de deux livres précédents, Une fin d'après-midi à Marrakech (1988) et Viens dit quelqu'un (1996). Ces trois livres sont le résultat d'une rencontre avec un pays, ses paysages, ses langues et ses habitants. C'est aussi une longue histoire d'amitié (en somme une rencontre continuée) où des moments et des endroits de ce pays se mêlent au visage et à la parole, dite, souvent écrite dans les livres, d'un ami marocain (...)
Un paradis de poussières n'est pas un paradis idéalisé, ce n'est ni la beauté ni l'amour idéalisé, ni le parfait poème non plus : tout est là sur notre terre de poussières, dans nos défaites de chaque jour et dans celle des mots. Il ne s'agit pas d'un si grand désenchantement ; il reste peu de jardin, et les poussières, quand la lumière est belle, peuvent y briller."
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