"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Saurez-vous résoudre l'enquête la plus passionnante de l'année ?
Mon histoire est simple. Sept écrivains montent dans un train. À la fin du trajet, cinq en sortiront vivants. Et l'un d'eux sera menotté.
Invité à un festival consacré au roman policier, Ernest Cunningham a pris place à bord d'un train avec d'autres écrivains. À l'arrivée, on dénombre quelques morts. Entre-temps s'est tenue la plus folle des enquêtes. Car tous les auteurs de romans policiers savent parfaitement comment résoudre les affaires les plus difficiles.Comme ils connaissent tous les recettes du crime parfait.
Après le désopilant Tous les membres de ma famille ont déjà tué quelqu'un, Benjamin Stevenson joue une nouvelle fois avec les nerfs du lecteur et transforme son second livre en coup de maître. Hommage hilarant à Agatha Christie et version moderne décapante du roman à énigmes : un vrai bonheur de lecture !
Un polar déjanté, ça te tente cet été ?
« Sept écrivains montent dans un train. A la fin du trajet, cinq en sortiront vivants. L’un sera menotté.
Nombre total de morts : neuf. Soit un peu moins que l’an passé.
Et moi ? Je ne tue personne dans celui-ci.
Commençons. Encore une fois. »
Tout le monde dans le train est suspect est le second tome des aventures d’Ernest Cunningham, un écrivain tristement célèbre en Australie car lié à des histoires de meurtres. Ecrit par Benjamin Stevenson, le roman est paru le 6 juin 2024 chez @sonatineseditions. Après tous les membres de ma famille ont déjà tué, cet hommage désopilant à Agatha Christie dépoussière le roman à énigmes.
Invité à un festival consacré au roman policier, Ernest Cunningham, notre narrateur déjanté, a pris place à bord d'un train avec d'autres écrivains. À l'arrivée, on dénombre quelques morts. Entre-temps s'est tenue la plus folle des enquêtes. Car tous les auteurs de romans policiers savent parfaitement comment résoudre les affaires les plus difficiles. Comme ils connaissent tous les recettes du crime parfait.
Comme souvent dans les romans à énigmes, l’histoire est un peu lente à démarrer car Ernest prend le temps de présenter les personnages, les victimes et les suspects. Puis, le récit se poursuit selon la trame du roman que notre héros peine à écrire. Les mobiles sont examinés et la quasi-totalité des indices permettant de résoudre les crimes sont déjà présents. Le premier meurtre se produit puis le rythme s’accélère, l’enquête se déroule avec nombre de fausses pistes, rebondissements et scènes d’action. Enfin, le mystère est résolu en fanfare.
J’ADORE ! Et j’adore d’autant plus que l’enquête se déroule parallèlement à l’écriture du roman d’Ernest, le tout ponctué de conseils et de réflexion sur l’écriture d’un second roman. L’humour est omniprésent, avec un jeu constant entre le narrateur qui dialogue directement avec le lecteur, de nombreux spoilers, des personnages surréalistes et des dialogues hilarants, rendant l’enquête aussi complexe qu’addictive. Bien sûr, tout est un peu tiré par les cheveux mais c’est ce qui fait le charme de l’intrigue !
Pour conclure, si tu cherches un mélange de mystère, d’action surréaliste et d’humour pour l’été, tu seras séduit par la plume fluide et caustique de Benjamin Stevenson.
Et toi, aimes-tu les romans à énigmes ? As-tu envie de découvrir celui-ci ?
Un grand merci aux éditions Sonatine pour ce partage via netgalley ainsi que pour l’envoi du livre. Service presse : collaboration commerciale non rémunérée.
Benjamin Stevenson nous propose une suite de son premier roman « Tous les membres de ma famille ont déjà tué quelqu'un », le tome 2 du personnage Ernest Cunningham, à qui il arrive bien des aventures encore une fois. Ernest est un auteur de roman policier et tient à suivre les règles établis de ce genre. Son créneau : raconter ce qu'il lui est arrivé en réalité (rappel : ce roman est bien évidemment une fiction). Son premier roman a bien fonctionné au sujet de sa propre famille et une certaine jalousie s'est instauré auprès de ses pairs.
Dans ce tome, il est invité à un festival littéraire qui a lieu à bord d'un train traversant l'Australie. Dès le départ, notre enquêteur révèle qu'ils étaient 7 auteurs et que seuls 5 vont survivre dont un sera arrêté.
La 4ème de couverture nous annonce un roman digne d'un roman d'Agatha Christie : on ne peut s'empêcher de penser à l'un de ses célèbres romans, reste à savoir si la résolution de l'enquête sera la même.
Avec beaucoup d'humour, comme dans son premier roman, Benjamin Stevenson surfe sur les règles établis par les auteurs des romans policiers. Des petits indices parsèment le roman : ces indices peuvent perdre le lecteur, surtout quand on s'attarde sur certains détails, comme la fameuse écharpe bleue. J'ai été focalisée sur ce détail, si bien que je n'ai pas vu d'autres détails pourtant aussi importants. Sous couvert de légèreté apparente de la narration, je défie quiconque de deviner la fin du roman. L'enquête est assez complexe. Pour ma part, je me suis laissée embarquée sans chercher réellement qui pouvait être coupable, chacun des protagonistes ayant tous un mobile pour passer à l'action.
J'ai eu une légère frayeur à la fin du roman mais l'auteur ne fait que nous surprendre jusqu'au bout. Encore une fois, j'ai beaucoup aimé ma lecture et je le recommande vivement. Idéal pour cet été, les doigts de pied dans le sable !
Je remercie les éditions Sonatine pour cette lecture et leur confiance.
Je ne connaissais pas Ernest Cuningham, hormis son nom et le titre de son premier roman, que je n’ai pas eu le temps de lire avant de céder à la tentation de lire celui-ci ! Ne pas confondre avec Benjamin Stevenson qui est le vrai auteur !
On ne peut pas vraiment parler de spoil en lisant le second avant le premier (je suis une habituée) car avec son titre il était difficile d’imaginer qu’il n’y aurait pas de meurtres !
Meurtres aussi il va y avoir ! Mais Ernest est devant une page blanche où les mots refusent de se poser ! En son for intérieur il se dit que s’il n’y a pas de morts, il n’y a pas de mots puisqu’il est un auteur circonstanciel !
Invité à un festival du roman noir qui va se dérouler dans le train qui traverse l’Australie du nord au sud, il se retrouve en compagnie d’auteurs de polars, d’agents, d’éditeurs littéraires et d’invités !
Ernest est le narrateur, l’acteur, le spectateur mais aussi l’enquêteur des événements qui vont se dérouler dans ce train qui roule au milieu de nulle part !
Dans son rôle de narrateur il m’a beaucoup amusé avec les questions, les réponses et les commentaires sans oublier les justifications puis les supputations ! J’ai vraiment trouvé très bien et très ironique cette façon d’entamer un roman, puis de donner tous les indices qui auraient dû ou devraient nous mener vers le(s) coupable(s) !
Humour noir et autodérision, un peu de surestimation de sa personne dans l’avis des autres passagers, ont donné des moments parfois cocasses ! Tout comme son professionnalisme auto-proclamé pour avoir vécu les événements de son premier roman !
Quelques personnages un peu plus en retrait, au premier abord, d’autres antipathiques et certains attachants ! Pour ma part j’ai rapidement été dans l’impossibilité de faire confiance à qui que ce soit car Ernest, en maître du jeu, a donné beaucoup d’informations qui n’ont cessé de rebattre les cartes !
Sans être un coup de coeur, j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir cet auteur et sa traductrice mais encore plus leur personnage un peu looser !
#Toutlemondedanscetrainestsuspect #NetGalleyFrance
Lorsque j'ai vu que Sonatine proposait dans son catalogue le nouveau roman de Benjamin Stevenson où nous allions retrouver le personnage d'Ernest Cunningham, je me suis tout de suite demandée combien de cadavres notre écrivain allait découvrir le temps de son voyage en train ! Et pour cause, dans Tous les membres de ma famille ont déjà tué quelqu'un, on se rend rapidement compte que les doigts des deux mains ne suffiront pas pour dénombrer le nombre de morts relatés dans cette histoire.
C'est donc avec un grand plaisir que j'ai retrouvé Ernest qui, devenu auteur, est invité pour la promotion de son roman à embarquer dans un train australien pour participer à un festival. Et si cet événement, semblant propice à l'évasion et à l'évocation de crimes seulement sur le papier était l'occasion de trouver l'inspiration ? Vous pouvez vous en douter, ce voyage ne sera pas de tout repos et la mort sera sans aucun doute de la partie !
La particularité que l'on retrouve dans les ouvrages de Benjamin Stevenson et que j'adore ait l'impression de faire partie à part entière du récit. J'ai vraiment l'impression de me retrouver aux côtés d'Ernest Cunningham, personnage principal avec lequel je me retrouve en pleine conversation. Finalement, le lecteur est bien plus qu'un simple spectateur, impression que je ressens rarement dans d'autres romans avec une telle intensité. Ernest Cunningham nous invite ainsi à mener l'enquête à ses côtés dans un décor qui ne peut nous faire penser à la Reine du roman noir, Agatha Christie.
On peut avoir l'impression que le jeu de piste que nous découvrons peut paraître parfois faire l'objet de certaines longueurs, mais en avançant dans cette lecture, on se rend rapidement compte des nombreux indices cachés par l'auteur dans le récit et que l'on a tendance à mettre de côté.
Je tiens à remercier les Éditions Sonatine pour m'avoir donné l'occasion de me plonger à nouveau dans un récit aux touches d'humour noir assez singulier qui pour moi est un régal. Si vous cherchez une lecture originale et unique en son genre, vous pouvez foncer les yeux fermés même si vous n'avez pas encore lu le premier tome.
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