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Ce matin d'avril, le Palais de la Berbie à Albi est en émoi. Deux tableaux de Toulouse-Lautrec ont été dérobés dans la nuit et le gardien est introuvable. Séraphin Cantarel, le très docte conservateur en chef du musée des Monuments français se rend sur place accompagné de son assistant, Théo Trélissac. Les deux hommes se trouvent confrontés à une enquête pleine de chausse-trapes.
L’ombre du peintre Toulouse Lautrec est présente tout au long de ce roman policier qui mêle culture, peinture, et savoir vivre et bien manger comme on sait si bien le faire dans nos régions, à une intrigue policière bien menée.
Séraphin Cantagrel, conservateur de musée, arrive à Albi pour aider son ami le conservateur du musée Toulouse Lautrec, à dénouer les fils du vol de trois tableaux du célèbre peintre. Les mentions et les anecdotes sur la vie et sur l’époque de Toulouse Lautrec sont souvent présentes, mais restent malgré tout assez fluides pour ne pas perturber la lecture et l’intrigue. Les échanges verbaux sont ceux de connaisseurs des belles œuvres artistiques et d’amateurs de bonne cuisine, l’enquête se déroule en parallèle et les coupables sont démasqués.
C’est agréable à lire et on a l’impression d’en sortir un peu moins ignorant de la vie du peintre et de cette belle région d’Albi et de Toulouse.
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