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Voici le dossier extraordinaire de la confirmation archéologique et littéraire de la venue de l'apôtre thomas en chine de 65 à 68.
Au moment oú l'empereur néron entreprend une terrible persécution des chrétiens à rome - oú mourront martyrs pierre et paul - et dans son empire, ces pages nous apprennent que jésus apparaît à l'empereur de chine mingdi, juste avant l'arrivée de thomas qui fonde très solidement pendant trois ans l'eglise en chine. les preuves s'accumulent, toutes plus solides les unes que les autres, de la fondation apostolique d'une grande église chinoise de source visiblement judéo-chrétienne, et non occidentale, plus d'un siècle avant l'arrivée du bouddhisme.
Au point que l'on peut comprendre que, cachée ou bien visible, elle va traverser les siècles et imprégner la culture chinoise directement, ou par les emprunts que lui feront bouddhisme et traditions de sagesse chinoise. ce plaidoyer à la gloire des petits, qui ont gardé dans l'empire du milieu le trésor de la foi - venue d'israël par la route de la mer puis ranimée par la route de la soie - dans les périodes d'obscurité, explique le succès des périodes de réveil et l'enracinement profond de la foi de l'eglise actuelle.
Celle-ci va pouvoir maintenant apporter ses bienfaits à une chine bien réveillée dans le monde du xxie siècle et, par elle, au monde entier dans lequel elle peut reprendre sa vraie place.
Le livre de Pierre Perrier a été écrit en 2008, il y a plus de 8 ans. L'auteur soutient l'hypothèse que l'Apôtre Thomas a évangélisé la Chine en s'appuyant essentiellement sur deux "preuves".
La première "preuve" est une traduction du songe de Mingdi très innovante comparée aux traductions acceptées par tous les historiens depuis Maspéro. Cette traduction introduit dans ce texte du songe de Mingdi des mots qui permettent à l'auteur de faire croire aux lecteurs que l'empereur Mingdi a vu en songe, non pas Bouddah, mais Jésus-Christ. Pierre Perrier ne mentionne même pas l'ouvrage de H. Maspéro qui fait autorité : il trompe donc ses lecteurs en leur faisant croire que sa traduction ne peut pas être remise en question.
La deuxième "preuve" est une interprétation de la frise de Kong Wang Shan. L'auteur date cette frise de 60 ap. J.-C. et y voit des symboles chrétiens tels que la croix et l'auréole. Or ces symboles n'ont pas été utilisées par les chrétiens avant le IIIe siècle. Cette interprétation est donc inexacte.
Le livre contient par ailleurs de nombreuses inexactitudes et contre-vérités dont le seul but est d'accréditer la thèse de l'auteur.
Aucun historien n'a confirmé depuis cette hypothèse et un lecteur averti comprend pourquoi.
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