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Théorie de la violence (2008) est le dernier livre publié par Georges Labica. C'est aussi celui de son idée première, celle d'une pratique de la philosophie portée hors d'elle-même, prenant le parti de l'impensable, de l'infréquentable.
Pour Labica, toute violence est en situation, prise dans une histoire. Aujourd'hui, ses formes sont modelées et redéfinies par la mondialisation. Celle-ci a effectivement mondialisé la violence, la part destructrice du capitalisme l'ayant, avec la financiarisation spéculative, emporté sur la part positive, que vantait le Manifeste, au point que le système en vient, sous nos yeux, à se phagocyter lui-même.
Cette nouvelle édition comprend, outre une préface de Thierry Labica, les commentaires et réponses de l'auteur. Dans une réponse à Etienne Balibar, Labica concluait ainsi de façon prémonitoire :
« Dans la crise actuelle (...) la violence est inévitable, tant est écrasant le poids des souffrances endurées. Or, si elle ne trouve pas une expression de masse consciente de la nécessité d'une alternative radicale, elle s'engluera dans des révoltes spontanées aisément réprimables et/ou rendra possible une sortie de crise capitaliste porteuse d'une violence plus grande encore. Aucun choix ne nous est laissé. »
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...