L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
En 2014, Gabrielle Duplantier publiait Volta aux éditions lamaindonne. Le livre, salué par le public et la critique, est aujourd'hui épuisé. Quatre ans plus tard, Terres basses, sa nouvelle publication, vient confirmer le talent de la jeune photographe. Une balade dans un univers dense et riche, où l'on retrouve son goût pour les paysages, les portraits de femmes et d'enfants... Un travail photographique puissant et délicat en même temps, qui ne cède jamais à l'artifice, où elle témoigne de la vie, de ses accidents et de ses joies, de ses incertitudes et de ses espérances. L'amour qu'elle porte à ses sujets est toujours là, permettant au lecteur de rentrer dans l'intimité de son entourage, avec pudeur et infiniment de douceur. Un regard amoureux qui transforme le noir en lumière.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique