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Le 25 avril 1879, en soirée, doit avoir lieu l'inauguration du nouveau Théâtre du Casino de Monte-Carlo dû au talent de Charles Garnier, l'architecte de l'Opéra de Paris.
On attend la grande, la sublime, l'unique Sarah Bernhardt dans le Prologue de Jean Aicart. Une silhouette mince, un corps diaphane surmonté d'une extravagante crinière de cheveux blonds, fascinante avec ses yeux gris-vert où scintillent parfois de redoutables éclats noirs, à trente-cinq ans Sarah Bernhardt règne sans partage sur le théâtre. C'est une princesse, une reine dont les sujets se comptent par milliers.
Nous allons suivre avec elle ses différentes représentations à Monte-Carlo, vivre ses rencontres avec Dumas fils (La Dame aux camélias), Victorien Sardou (La Toscaà, Edmond Rostand (L'Aiglon) ; ses passions amoureuses, ses tournées, ses drames, son courage...
L'authenticité de cette grande tragédienne traverse les siècles. Sarah soulève la passion de ses admirateurs éternellement fous d'amour de sa voix, de sa beauté.
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