L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Michel Lamart, excellent poète et chroniqueur rémois, nous invite à partager sa vision de l'oeuvre du cher Arthur Rimbaud par des poèmes très courts et jamais touffus. On est loin des longues phrases de Rimbaud où celui-ci concoctait ses bijoux : que de trouvailles et hardiesses ! ont donné d'autres éclats au réel et une autre dimension au langage. À côté du fabuleux « je est un autre » Lamart, parmi tant d'autres qui ont aimé l'auteur des « Illuminations », a osé nous proposer ses poèmes. Avec beaucoup de subtilité, ils se réfèrent à certains vers de Rimbaud : « Mer Poème qui / Enivre le poète / Et le berce / D'éclats oniriques / De cils rougeoyants / Et de brumes violettes / Tandis que sur la flache / Dérade son bateau ». D'autres, caractéristiques de la vie du révolté de Charleville, sont mis en évidence, entre autres : « A Babylone / Ivrogne d'entre les ivrognes / Victimes d'orgies / Abracadantesques ».
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