L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
L'ambition de ce dossier est d'effectuer un pas de côté par rapport à une histoire de la race, souvent saisie au niveau des représentations scientifiques, littéraires et photographiques, pour s'intéresser à la manière dont la différence des corps est construite, interprétée, administrée et négociée en contexte colonial dans le cadre des interactions et des pratiques ordinaires.
Après un état des lieux sur la riche historiographie consacrée à la « colonisation des corps » et à l'incorporation de la domination coloniale, ce numéro propose une nouvelle lecture ancrée dans les pratiques et le quotidien, à partir d'études de cas situées en Afrique ou en Asie, qui décrivent la manière dont les catégorisations et hiérarchisations sociales et raciales sont mises en jeu de manière très concrète dans les sociétés impériales et coloniales à travers le corps des acteurs. Le débat sur le livre d'Ann Laura Stoler (Carnal Knowledge and Imperial Power, 2002) est l'occasion de revenir sur la réception en France des thématiques postcoloniales.
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