"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La réalité altérée de la beauté d'un monde reconfiguré.
Mélangeant le vivant et non-vivant, reprogrammés, transformés, mettant en vie nos rêves exotiques, nos peurs, nos espoirs.
Au croisement du surréalisme et de la technologie, le bestiaire "Post Natural History" imagine l'évolution possible du monde vivant après Darwin. Comme un cabinet de curiosités du futur, les photographies révèlent une collection d'espèces en voie d'apparition : un paon à l'exosquelette en argent serti de diamants, une libellule au fragile abdomen de verre doté d'un capteur luminescent qui mesure la qualité de l'air, un scarabée au GPS intégré dans son antenne métallique... Gravées sur une plaque en laiton, des explications « scientifiques » légendent les images, renforçant paradoxalement tant la réalité que la fiction contenues dans ces photographies. D'une beauté à la fois étrange et familière, ce bestiaire poétique et sensible interroge notre relation à la nature et à la technologie.
Mélangeant Histoire et anticipation, mémoire et science-fiction, le projet « Post Natural History » comporte 3 cycles : les Fleurs de Chair - réflexion sur l'idée de chair artificielle, le bestiaire fantastique et technologique - projection d'une nature re-programmée par l'Homme d'après la biologie synthétique et la cybernétique, et le coeur indestructible en or et gemmes - premier prototype d'un organe hybride conçu aussi comme un bijou. La technologie après avoir été une extension du corps rentre désormais à l'intérieur du corps.
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