"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Près de quatorze années après son recueil précédent, Anne Talvaz reprend avec Posséder sa clé propre, écrit sur douze ans, son activité poétique qui consiste à dire le monde.
Dire, d'abord, les dernières impressions d'une époque faite d'expatriation et de voyages. Mais la vie ne vous laisse pas tranquille?; les deuils se multiplient et l'observation cède le pas à la méditation.
La génération précédente s'en va, certains amis également, et il est plus que jamais indispensable de s'en remettre à soi-même pour naviguer le monde, que ce soit celui de la rêverie personnelle ou celui où se produisent des événements petits et grands qui forcent la réflexion et le débat, fût-ce avec soi-même?; un monde épars, éclaté, déroutant souvent, dont il faut s'approprier - tout seul - la clé pour tenter de le dire.
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