Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Roberto Juarroz est né en 1925 et mort en 1995 à Bueno Aires. Parmi les poètes argentins il est de cinq ans l'aîné de Juan Gelman et de six ans celui d'Alejandra Pizarnik. Il publia sa première Poésie verticale à compte d'auteur, en 1958. Ce qui n'empêche pas Cortazar de le remarquer très tôt et Paz de le considérer comme «un grand poète d'instants absolu». Ses recueils n'ont porté qu'un seul et unique titre:Poésie verticale, suivi d'un numéro. L'oeuvre poétique est d'un seul tenant, monolithique, et constitue un livre inachevé à jamais ouvert. Relisons Juarroz, car peu de poètes nous conduisent aux frontières du réel, nous y laisse seul, plein et entier, c'est-à-dire responsable de notre langage et de la relation que nous établissons, par celui-ci, avec la réalité - et dès lors responsable de notre humanité. Peu de poètes nous permettent, par la poésie, de naître à nous-même, au monde et dès lors de mieux nous connaître ainsi que d'être par là mieux ajusté au monde - c'est-à-dire au réel. Juarroz était de ceux-là, rares, qui firent de la poésie une expérience de vie.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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