A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
Ère victorienne. Angleterre.
Les temps sont durs, et les revers de fortune légion. Ainsi en est-il pour Clare et John Belman, contraints de quitter Bath, sa modernité et ses milieux culturels sophistiqués, pour l'antique ferme familiale d'Ormesleep, dans la région d'Ormeshadow. Au regard de Gideon, leur fils unique, c'est le pire des déracinements. D'autant qu'Ormesleep est le domaine de Thomas, son oncle paternel, figure tyrannique implacable, personnage aigre et brutal. Dans ce nouveau contexte dépourvu d'horizon, alors que les adultes nouent leur propre drame mortel, les fabuleux récits narrés par son père à propos des environs constituent l'unique échappatoire de Gideon. Des récits qui font écho à une légende familiale tenace au sujet d'un dragon endormi sous la falaise, dragon dont l'un des membres de la famille Belman, génération après génération, aurait la garde... À l'heure où son univers s'écroule, quand fantasme et réalité s'entrechoquent, le chemin qui fera du jeune Gideon un homme s'annonce des plus périlleux.
Fin 19ème siècle, Gideon a 6 ans quand sa famille quitte Bath pour retourner vive dans la ferme tenue par son oncle paternel. Petit garçon curieux qui a grandit dans la bibliothèque de la maison où son père était secrétaire, rien ne l’a préparé à la vie à la campagne. Les débuts sont très durs et les seuls moments qui l’aide à tenir sont ses balades avec son père qui lui raconte la légende d’un dragon endormi sur leurs terres. Avec la disparition de son père, la vie de Gideon va aller de mal en pis. On suit une succession de malheurs, de mauvais traitements, d’incompréhensions… Il n’a pas une vie enviable même si c’est très représentatif de la rudesse de l’époque avec l’âpreté de la vie en général associé à la froideur et aux préjugés des gens. Je suis perplexe sur la candeur dont il fait preuve malgré tout ce qu’il vit. La plume m’a fascinée, au point de me faire accepter un traitement des personnages féminins bien moisi ce qui est en général rédhibitoire pour moi. La mère est détestable dans ces manigances bien qu’elle n’use que de ce qu’elle a à disposition vu l’époque. Si j’ai apprécié ma lecture, je ne comprends toujours pas ce qu’il fait dans cette collection. L’aspect imaginaire est tellement tenu qu’il serait plus logique de le trouver dans une collection de littérature blanche.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste