Dans les pays ou les peuples sont soumis à la peur, les solidarités et résistances se brisent. Un homme gagné par l'effroi devient vulnérable. Il ne voit ni ne pense. Devenant peu à peu invisible, il semble une coquille vide, une chose effrayante et grotesque. Ainsi se déclinent les personnages de Noir de Selçuk Demirel. Figures à trous noirs, faces évidées où demeure le vide. Selçuk Demirel dessinateur de presse aguerri, livre ici une toute autre facette de son crayon. Le trait est sombre et légèrement effrayant. Mais à contempler le catalogue de ces figures creuses et railleuses, nous finissons par sourire, parce que l'absurde, l'outrance, le carnaval, sont aussi porteurs d'humour, noir sans doute, mais d'humour quand même.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
