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Le 19 septembre 2010 le pape Benoît XVI béatifiait John Henry Newman. Pour approfondir le sens de cet événement, un colloque international s'est tenu à Paris en novembre 2010, réunissant les meilleurs spécialistes internationaux de l'oeuvre de Newman. Les actes de ce colloques sont publiés dans ce cahier des Études newmaniennes, qui seront désormais publiées chaque année par les éditions Ad Solem.
Newman est considéré par les catholiques comme par les anglicans comme le bienfaiteur de deux églises: à l'Anglicanisme, son Eglise d'origine, Newman a rappelé l'importance de la doctrine et des sacrements comme moyens de communion avec le Christ; au catholicisime, il a apporté le meilleur de l'esprit de la Réforme: l'idéal d'une foi personnelle - «je veux un laïcat formé écrivait-il» -, formée non pas selon les critères de son jugement privé mais par l'enseignement du Magistère, qui vient non pas s'imposer du dehors, mais compléter la lumière de la conscience.
Ces aspects, mais aussi la place de l'intelligence dans l'agir chrétien, l'attrait de la beauté de la sainteté, l'influence du calvinisme anglais dans l'idéal de sainteté newmanien, la place des saints dans sa vie anglicane, le parallèle possible entre Newman et Thomas More, sont les différents sujets abordés dans Newman et la sainteté. Ils fond de ce recueil une excellente introduction à l'oeuvre de Newman et à la place que celle-ci va désormais occuper dans l'Eglise.
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