L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Paul Henry dit que Mari d'Ingrid est "un livre de fantômes", un livre du "désir et (de) la perte d'amour", la quête et l'égarement d'amour. Fortement enracinée dans le quotidien, cette poésie n'en révèle pas moins le sacré qui se cache derrière chaque geste, chaque mot. Le "fantôme", c'est le présent réminiscent (et le poète se délivre ainsi de sa souffrance), c'est l'image secrète de notre vie, cette image tragique qui résume notre historicité.
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