Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Initié dans la revue Contrat Maint, la Théorie des verbes d'Emmanuel Fournier trouve son achèvement aujourd'hui. Chacun des textes qui composent cette suite résulte du montage de fragments de textes prélevés dans deux livres de deux auteurs différents. Pour Les verbes de la jubilation, Fournier puise dans Le gai savoir de Nietzsche et dans Roland Barthes par Roland Barthes. Pour Les verbes de la libération ce sont Notre-Dame du Paris de Victor Hugo et Léonard et les philosophes de Paul Valéry qui sont mis à contribution. Comme jadis John Cage « préparait » son piano, Emmanuel Fournier « prépare » ses fragments pour les imbriquer dans le montage final. Le statut d'auteur se trouve ainsi mis radicalement en jeu. L'exercice de la pensée qui va de pair avec l'énonciation de la parole poétique se trouve soumis aux aléas de l'extériorité paradoxalement recherchée comme une chance d'approfondissement. Il en résulte des textes d'une étrange beauté et d'une intelligence provocante.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...