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Il fut comblé, admiré, honoré et absolument oublié. Tel est souvent le sort de l'artiste ; tel fut en tout cas celui du peintre Anicet Charles Gabriel Lemonnier. Pourtant, ce fut lui qui remporta le prix de Rome en 1772, et provoqua chez David, son rival vaincu, un grand découragement. La gloire a depuis rattrapé celui-ci, cependant qu'elle a rejeté celui-là dans les ténèbres de l'histoire. Comment comprendre un tel destin ? Natif de Rouen, Lemonnier y a exercé son talent sa vie entière, y puisant jusqu'à son inspiration, alors qu'il a cultivé à Paris son goût de la conservation et de la collection en siégeant à la Commission du Louvre. Une activité créatrice continue et importante que l'Empereur récompensa en 1810 en le nommant directeur de la Manufacture des Gobelins. Les honneurs de son vivant n'ont donc jamais manqué. Mais depuis sa mort, en 1824, son souvenir n'est présent ni à Paris, ni même à Rouen. C'est ce double oubli que l'ouvrage interroge, non en établissant une biographie du peintre, mais en portant attention à ses nombreuses activités, à sa participation personnelle à la Révolution, à son entrée en révolution. Il s'agit ici de trouver et de fournir des explications de nature historique, et non artistique, au parcours de Lemonnier.
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