Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
C'est le 24 janvier 1936 aux Collections « Héroes » dirigées par les poètes et éditeurs Manuel Altolaguirre et Concha Méndez que Miguel Hernández remit le manuscrit de son recueil de poèmes El rayo que no cesa auquel il rajouta à la hâte une « Élégie » à son ami Ramón Sijé, décédé brutalement, un mois plus tôt, « comme frappé par la foudre ». Il venait également de renouer avec sa fiancée Josefina Manresa avec qui il avait rompu pendant son séjour à Madrid. Néanmoins, ce livre, composé à Madrid durant l'année 1935, est celui d'une rupture, d'une crise correspondant à l'acquisition d'une maturité du poète levantin tant d'un point de vue amoureux (il a rompu avec sa fiancée Josefina Manresa et a découvert l'amour physique dans les bras de la peintre madrilène Maruja Mallo) qu'ontologique (dû à sa rupture définitive avec la religion). Ainsi, la voix qui scande le projet poétique de l'auteur de L'éclair n'a de cesse est celle du déchirement.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !