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Le nom du père

Couverture du livre « Le nom du père » de Sebastien Meier aux éditions Editions Zoe
Résumé:

Paul Bréguet, ancien inspecteur de police, sort de prison après plus de deux ans de détention. Avec l'aide de la procureure Emilie Rosetti, l'ex-flic décide d'élucider le mystère qui entoure la mort de son amant, Romain Baptiste. Réseaux de prostitution, évasion fiscale et corruption ne vont pas... Voir plus

Paul Bréguet, ancien inspecteur de police, sort de prison après plus de deux ans de détention. Avec l'aide de la procureure Emilie Rosetti, l'ex-flic décide d'élucider le mystère qui entoure la mort de son amant, Romain Baptiste. Réseaux de prostitution, évasion fiscale et corruption ne vont pas faire dévier de leur objectif les deux détectives, bien au contraire. Dans ce polar qui jette une lumière crue sur la Suisse des banques et des montages fiscaux, Sébastien Meier reprend avec brio les protagonistes de son précédent ouvrage, Les Ombres du métis, dont la morgue et les paradoxes font tout le charme. Né en Suisse romande en 1988, Sébastien Meier s'intéresse tôt à la littérature. Il crée à 22 ans les éditions Paulette où il publie une quinzaine d'ouvrages. En parallèle, il cofonde le collectif Fin de Moi, consacré aux arts de la scène, et s'investit au sein du bimensuel romand La Cité. Récompensé par le prix Lilau 2015 du polar pour Les Ombres du métis, il partage aujourd'hui sa vie entre l'écriture et le voyage.

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Avis (1)

  • Un sentiment de mal - être, de malaise, de gris émane du début à la fin de ce livre. On parle souvent de roman noir ( un univers violent, un regard tragique et pessimiste sur la société, un fort ancrage référentiel et un engagement politique ou social ), pour le cas, j'évoque ici un roman gris,...
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    Un sentiment de mal - être, de malaise, de gris émane du début à la fin de ce livre. On parle souvent de roman noir ( un univers violent, un regard tragique et pessimiste sur la société, un fort ancrage référentiel et un engagement politique ou social ), pour le cas, j'évoque ici un roman gris, pas tout a fait noir, mais quand même.
    Le récit tourne autour d'individus improbables, du monde des arts ou illustrant une frange de la bonne société suisse, aveugle et complice. d'un héros perdu,victime d'un dédoublement de personnalité histoire de dérouter ceux qu'il côtoie, alors qu'il se déroute lui-même...
    C'est donc un livre que je ne regrette pas d'avoir lu, et que je pense ne pas oublier non plus très vite, comme pour certains polars du même genre.

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