Que la Macédoine, et notamment la haute figure d'Alexandre le Grand, soit présente dans son oeuvre comme la Crète en celle de Kazantzàkis ou la Provence chez Mistral et Giono, son inspiration n'en reste pas moins universelle.
"Entièrement Macédonien et entièrement lui-même, Radovan Pavlovski parvient à tout concilier sans rien renier. J'aime cette poésie d'être si individuelle qu'elle en devient message de siècles passés et de siècles futurs. Aussi parce qu'il y traîne dans le vent des odeurs, comme si l'on froissait entre les mains des herbes et des graines, des fleurs macédoniennes de son pays natal". Jacques Gaucheron
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