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Le coeur pur du barbare

Couverture du livre « Le coeur pur du barbare » de Thomas Vinau aux éditions Castor Astral
Résumé:

Entre poèmes devenus introuvables et textes inédits, Le Coeur pur du barbare de Thomas Vinau redonne un sens poétique aux petits riens du quotidiens.
Thomas Vinau a remonté le fil des ans pour retrouver des poèmes devenus introuvables ainsi que des textes inédits.
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Entre poèmes devenus introuvables et textes inédits, Le Coeur pur du barbare de Thomas Vinau redonne un sens poétique aux petits riens du quotidiens.
Thomas Vinau a remonté le fil des ans pour retrouver des poèmes devenus introuvables ainsi que des textes inédits.
Le Coeur pur du barbare se compose de trois parties dont les deux premières ont connu une première vie : " Fuyard debout " et " Les derniers seront les derniers ". La troisième sec- tion, " Poèmes d'une Amérique imaginée ", est entièrement inédite.

- L'auteur assemble des petits riens du quotidien comme l'orage d'un soir d'été, la lumière d'une fin de journée ou le souvenir fugace d'un rêve. Il leur apporte une valeur profonde, parfois philosophique, toujours émouvante, sous l'égide des artistes qui le fascinent et le nourrissent, comme Richard Brautigan, Raymond Carver, John Fante, Arthur Rimbaud, Sylvia Plath, Jim Morrison ou Basquiat.
Il y a des monstres qui sont très bons, prix Kowalski des lycéens en 2018

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Avis (1)

  • Il y a trois parties dans ce recueil qui reprend en couverture ce vers : « J’écris avec un caillou dans la chaussure » et c’est bien ce petit caillou importun qui va pousser l’auteur à raconter dans des formes courtes ses déboires, ses illusions de la vie qui va, qui vient.
    Ces trois...
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    Il y a trois parties dans ce recueil qui reprend en couverture ce vers : « J’écris avec un caillou dans la chaussure » et c’est bien ce petit caillou importun qui va pousser l’auteur à raconter dans des formes courtes ses déboires, ses illusions de la vie qui va, qui vient.
    Ces trois ensembles, dont l’écriture s’étale sur une quinzaine d’année, ce n’est « presque rien et pas grand-chose » Et ce sont ces petits riens et ces pas grand-chose qui nous émeuvent, nous amusent et nous font rêver.
    Dans « Fuyard debout », on croise l’amour, les souvenirs d’enfance, les amis, et ce quotidien, souvent sans ambition, ou bien qui tient dans le carreau d’une fenêtre. Il raconte « nos toutes petites vies/ dans nos toutes petites mains », et parfois cela tient parfois en quelques mots qui en disent long.
    « Le soir
    Elle se couche sur le canapé
    Je mets ma main sur son ventre
    Et on est déjà trois. »

    Dans « Les derniers seront les premiers » l’écrivain est ce puisatier jardinier charbonnier qui affirme :
    « Ecrire
    C’est creuser un puits
    Pour en boucher un autre »
    Histoire sans fin de la vie elle-même.
    On y trouve également ce « cœur pur du barbare » qui « découvre la fleur » qu’il massacre.

    La dernière partie intitulée « Poèmes d’une Amérique imaginée » rassemble des inédits. Elle est moins intime et plus onirique. Il évoque l’Amérique mais aussi ses artistes passés ou contemporains comme Charlie Chaplin, Hemingway, Rosa Parks, Basquiat ou encore Richard Brautigan. Un voyage aux States d’hier et d’aujourd’hui en version courte !

    Cette poésie d’une simplicité qui la rend particulièrement accessible, n’en est pas moins troublante et touchante.

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