Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Quand on perd ce que l'on ressent comme un être essentiel, peut-on vivre et ressentir les choses comme avant ? Le temps ne résout rien. Il creuse au contraire la douleur. Une lente alchimie interne opère, néanmoins, qui fait qu'un jour on peut s'essayer à mettre en mots, métaphoriquement, l'histoire que l'on a vécue avec cet être, à mettre en mots sa douleur aussi. J'ai traité ce sujet à la manière impressionniste, par petites touches : les temps sont mélangés, le sien et le mien, qui ne sont pas les mêmes et qui cependant se sont rencontrés, à un moment donné de notre histoire (...). La première partie, L'Absence, évoque tout cela. La seconde partie, Psalmodie pour l'absent, parle de l'après - des ressentis de l'après -, là aussi de manière impressionniste, et cela dans un temps reconstruit par la mémoire qui, donc, réorchestre les souvenirs.
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