"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Avocat à la Cour d'Appel de Paris, ancien Secrétaire Général de la Fédération Internationale des Ligues des Droits de l'Homme (F.I.D.H.) avec laquelle il continue à collaborer, c'est en avocat et en militant des Droits de l'Homme qu'Etienne Jaudel analyse le célèbre procès qui a opposé en 1949 Victor Kravchenko à l'hebdomadaire communiste Les Lettres Françaises.
Grace à un grand nombre de documents inédits et à la sténographie des audiences, il tente de comprendre l'aveuglement des communistes vis-à-vis des crimes contre l'humanité commis par le régime stalinien, un aveuglement qu'ils ont réussi à faire partager par le tribunal et par l'opinion. Il faudra encore cinquante ans pour qu'ils soient définitivement reconnus comme tels. Pour discréditer Victor Kravchenko, cet homme courageux qui avait osé exposer avec l'aide de rescapés du Goulag, comment Staline avait organisé la famine en Ukraine, ce qu'étaient les purges, les procès truqués et les camps, ils ont usé de moyens directement inspirés par le totalitarisme soviétique.
Une dénonciation passionnée de l'intolérance et du fanatisme.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !