Quand on découvre que paris est une terre d'asile.
De fous ! paris la merveilleuse. notre héros (candide, le huron, l'indien dans la ville, le persan. ) débarque d'une île paradisiaque. pour découvrir la tour eiffel. il va se frotter aux modes d'emploi qui font le bonheur de la vie urbaine et civilisée : portables, dépannages en lignes, montages de meubles. aux us et coutumes dans le métro et dans les fast-foods, aux moeurs des chauffeurs de taxis et des gardiens d'immeubles, des banquiers et des masseuses relaxologues aux huiles essentielles.
Et ne disons rien de son premier contact avec ces drôles de chewing-gums roses à ourlets vendus dans des distributeurs accolés aux murs d'églises signalées par des croix vertes clignotantes. maxime vivas observe ici deux phénomènes universels qu'il décrit en 34 tableaux les moeurs des grandes villes d'aujourd'hui sont parfaitement normales (pour les citadins), les notices, instructions, schémas de montage sont assurément limpides (pour ceux qui les écrivent).
Quant aux autres, ils sont en droit de s'interroger : et si ce n'était pas ça, le bonheur ? et si d'autres mondes étaient possibles ?.
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