Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
La plainte de Natura qui inspira Jean de Meung pour la deuxième partie du Roman de la rose, est une satire habile des vices de l'humanité. Reprenant sur le ton de la plainte le lieu commun bien connu, Alain dénonce vigoureusement l'étendue du mal en ce bas-monde, la corruption des moeurs. Natura, personnage allégorique, quitte sur son char l'Olympe céleste et apparaît soudain à Alain que la surprise fait s'écrouler en extase mystique. Revenu à lui, il interviewe la semi déesse avec insistance, voulant connaître les raisons qui ont bouleversé, dénaturé l'ordre du monde voulu et agencé par Dieu. Dès lors, l'affaire n'est plus de dénoncer le mal, mais de savoir quelle en est l'origine.
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