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Passe-sans-porte, Wumen guan en chinois, est à la fois le titre de l'ouvrage et le surnom de son auteur, un maître zen chinois du XIIIe siècle, qui recueillit dans ce texte majeur de la littérature zen 48 koans des maîtres les plus appréciés du bouddhisme. Les koans sont de courts enseignements constitués d'anecdotes ou de dialogues édifiants entre maître et disciple, que le candidat à l'éveil prend comme support dans son cheminement. Brefs et incisifs, provocateurs et déstabilisants, souvent paradoxaux et ironiques, ils ont pour but de faire disparaître tout point d'appui, de déloger le disciple des habitudes duelles de la pensée afin qu'il accède à la compréhension de la véritable nature des choses : la vacuité, c'est-à-dire l'absence de caractéristiques qu'elles quelles soient.
Parmi les recueils chinois et japonais de koans, la Passe-sans-porte, par son choix et sa sobriété, est sans nul doute le plus beau. Il est riche en allusions aux principales notions du bouddhisme, et empreint de la richesse culturelle et poétique des maîtres de jadis. Depuis près de sept siècles, dans nombre de monastères zen au Japon, il sert de support pour les moines qui, lors de leurs pratiques méditatives et dans leur vie quotidienne, se concentrent sur un koan et ne le lâchent pas jusqu'à l'avoir résolu, c'est-à-dire jusqu'à leur éveil.
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