L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« J'habite dans une belle barre, à Montparnasse, dessinée par Jean Dubuisson en 1967. Non pas celle shootée par Andreas Gurski, qui n'a "aucune vue", mais celle historique du boulevard Pasteur. Au départ, mon appartement, un T3 généreux de quelque 85 m2, était au R+6, l'étage parisien par excellence. La vue était déjà, à ce niveau, exceptionnelle. Au Nord, je voyais tout Paris avec le Sacré-Coeur, Beaubourg et la Tour Eiffel, pour de l'autre, au Sud, m'ouvrir au soleil sur les collines de Montrouge et autres buttes boisées de l'horizon parisien. Mais, quand je prenais l'ascenseur et que je voyais qu'au-dessus du bouton de mon étage, il y avait 8 autres boutons, dont le dernier desservait un duplex au R+17, j'ai voulu en savoir plus. J'ai demandé à être mis en liste d'attente pour migrer plus haut. Un appartement s'est libéré au R+16 / R+17. J'habite maintenant la hauteur.
Ça m'a donné des idées sur ce sujet d'actualité. Je voudrais vous en parler. » Ce livre a été imprimé à 1 150 exemplaires. Chaque exemplaire est unique.
Avant pelliculage chez l'imprimeur, Édouard François a lui-même passé chaque couverture au Stabilo jaune à la main. Par ailleurs, 200 d'entre elles revêtent sa signature originale et ont été transformées par l'ajout de dessins fait avec des Stabilo de différentes couleurs. 100 exemplaires de ces livres-ci ont été numérotés et constituent le tirage de tête, dit collector.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique