L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Il était une fois, non loin des côtes bretonnes, un petit bébé, qu'un druide avait mystérieusement déposé devant la porte d'un presbytère. Avant de repartir, une consigne fut donnée à la mère supérieure. L'enfant ne devait jamais connaître l'obscurité, car l'ennemi habite les ombres de la nuit, prêt à la posséder (...)».
Ainsi débute La Forêt, grand récit légendaire aux couleurs d'une rêverie celtique, signé Vincent Perez. C'est l'histoire de ce bébé - une fille, Titiana - qu'il va nous être donné de suivre, au fil des pages flamboyantes dessinées par Tiburce Oger, auteur de BD accompli.
La série possède le souffle puissant des grands contes européens tels que les ont écrits Grimm ou Charles Perrault. Les thèmes tels que la quête initiatique, le mariage, l'inceste, la nécessité de l'imaginaire, cher à ce genre littéraire apportent l'entrain et la dynamique propre à cette série grand public. Chaque tome peut se lire indépendamment des autres.
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