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« Il chantait Aragon, il chantait son Ardèche d'adoption et sa montagne. Il chantait l'amour, les injustices... Jean Ferrat est mort aujourd'hui, il avait soixante-dix-neuf ans », entendait-on à la radio le samedi 13 mars 2010.
Sa disparition a profondément touché le coeur de la France. Jean Ferrat avait le sens des mots, l'instinct sensible. Cet homme à la moustache reconnaissable entre mille ; ce grand monsieur charmant, impressionnant, dont la voix portait jusqu'au ciel. Aujourd'hui, ses chansons continuent d'être diffusées à la radio et la nouvelle scène française reprend ses oeuvres. La jeunesse l'admire. Comme le jeune Jean Tenenbaum a pu admirer, autrefois, le poète riche de mots et de rimes, Louis Aragon. Ses chansons se baladent continuellement dans chaque recoin de France, ce pays qu'il a tant aimé et chanté.
En hommage, Pierre Pernez narre l'homme au grand coeur, le poète blessé, sensible et ivre de rimes, celui qui restera dans l'esprit de chacun des Français.
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