L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mattt Konture, qu'on ne présente plus, et Jacques Velay, son camarade de l'ex-fanzine La Table, de Montpellier (Fuméti d'un fumiste en collection Mimolette, Lapin) ont réalisé ensemble ce Jean de l'ours : vu les auteurs, on pourrait s'attendre à un manifeste punk et destroy, mais on a ici affaire à ce qui ressemble à une bande dessinée presque classique. Presque... Car si tout commence comme une aimable fiction bucolique de couple en vacances, admirablement dessinée par un Mattt Konture en pleine forme, prenant un plaisir évident à dessiner la végétation, les rochers ou les arbres, le récit part lentement mais sûrement vers des turbulences particulières. Au moment de tranquillement planter leur tente dans un coin rêvé de Lozère, la femme du couple est enlevée par un ours, et il ne semble pas que cela s'avère si malencontreux. Quant à l'homme, il va lui arriver d'autres espèces de choses particulières.
Un livre insolite et décalé au sein de la bibliographie de Mattt Konture, et un Velay bien différent de ses Fuméti anarcho-lyriques.
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