"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La représentation de têtes dites d'expression a été initiée par Charles Le Brun au XVIIe siècle et s'inscrit dans la tradition académique, notamment celle de la peinture de genre. Les figures de Jean-Baptiste Greuze, principalement féminines, sont d'abord le vecteur narratif des oeuvres d'histoire au sein desquelles elles ont vocation à s'intégrer. Toutefois, les émotions vont peu à peu constituer l'unique élément fictionnel des productions de l'artiste. L'autrice montre comment les têtes « greuziennes » - parfois jugées décadentes en raison de leur lascivité et leur volupté affichées - acquièrent finalement un statut autonome et deviennent un genre artistique à part entière entretenu par les collectionneurs et perpétué par une nouvelle génération d'artistes.
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