La vie de Diana est sur des rails : elle a le petit ami idéal et le job de ses rêves chez Sotheby's. À bientôt trente ans, il ne lui manque plus que la bague au doigt, et elle est presque sûre que Finn va faire sa demande pendant leur escapade aux Galápagos. Mais, réquisitionné à l'hôpital en ce début 2020, il doit rester à New York et insiste pour qu'elle profite de ce paradis sans lui.
C'est donc à contrecoeur qu'elle part - et rien ne se passe comme prévu : bagage perdu, hôtel fermé, wifi inexistant, elle se retrouve coupée du monde et doit sortir de sa zone de confort.
De rencontres en introspection, Diana pourrait bien réaliser que sa vie et son bonheur ne sont pas là où elle le croyait...
Un roman avec une construction original, c'est une belle histoire d'amour dans des paysages enchanteurs, une ambiance, Finn reste à New York réquisitionné à l’hôpital tandis que Diana sa petite amie va finalement partir aux Galápagos. Un roman surprenant , des twist plot, très bien écrit, bien documenté, de la profondeur, des surprises, une réflexion sur le quotidien, une intrigue bouleversante, touchante et agréable.
"Nous pleurons tous quelque chose. Pourtant, nous continuons à mettre un pied devant l’autre. Nous nous réveillons tous les jours. Nous avançons péniblement dans l’incertitude, même quand nous ne voyons pas encore la lumière au bout du tunnel. Nous sommes secoués, fracassés, mais nous sommes tous de petits miracles."
La couverture magnifique pourrait laisser penser que le lecteur va voyager, se poser sur des plages paradisiaques, visiter des sites merveilleux… Et c’est exact, Jodi Picoult nous entraine aux Galapagos et plus exactement sur l’île Isabela, la plus grande de l’archipel qui en compte 41 (source wikipedia) et qui fournit à Darwin le terreau nécessaire pour concevoir sa théorie de l’évolution. Mais ce n’est pas ce qui nous intéresse dans ce roman écrit en 2021. L’autrice asthmatique a vécu la pandémie dans le plus strict respect du confinement, des gestes barrière, tétanisée par la peur d’être contaminée, se demandant ce qu’elle pourrait écrire sur le covid. Peu de temps après elle est tombée sur un article relatant l’histoire d’un touriste japonais en vacances au Pérou au moment où le pays avait fermé ses frontière. Bloqué, isolé, seul, il s’était intégré à la population locale.
C’est la situation que va vivre Diana, jeune trentenaire newyorkaise, job de rêve chez Sotheby’s, l’amour parfait avec Finn, interne en chirurgie. Ils ont prévu un voyage de rêve aux Galapagos où Diana est persuadée, depuis qu’elle a trouvé un écrin caché dans un tiroir, que son amoureux va la demander en mariage. Pourtant c’est seule que Diana atterrit en Equateur, Finn n’a pas pu quitter l’hôpital, les malades du covid affluent aux urgences, tous les soignants sont sur le pont. Le voyage de Diana commence mal : valise perdue, hôtel fermé, wifi HS, confinement et couvre-feu imposé. Mais ce que va vivre Diana, bloquée sur son île, personne ne le croira ! Et c’est tout l’intérêt de ce roman qui commence comme un feel good mais qui cache bien son jeu.
Je dois avouer que j’ai failli abandonner au début, je n’avais pas du tout envie de lire une romance sur fond de covid 19, surtout que les explications sur les traitements de la maladie sont nombreux et assez détaillés. Mais j’ai continué pour les descriptions de l’île, les personnages et un peu aussi pour l’histoire d’amour (bah oui !). Et alors que je pensais être arrivée à la fin de l’histoire et du roman, il m’en restait presque autant à lire. J’ai été intriguée et je n’ai pas été déçue !
Jodi Picoult est une auteure que je suis mais là à part quelques passages se déroulant aux Galapagos que j'ai goûtés,le luxe de détails pointilleux sur la covid m'a mise particulièrement mal à l'aise.Certes,c'est un sujet à traiter mais j'ai senti une forme de complaisance dans la morbidité.
Une atmosphère plus que plombante...
Diana et Finn sont un couple plein d'avenir.
Il est interne en chirurgie.
Elle travaille dans la vente aux enchères d’œuvres d'art.
Ils ont réservé un voyage aux Galapagos, mais …...;la pandémie de Covid arrive.
Finn est mobilisé à l'hôpital et Diana part seule aux Galapagos.
Bon, heureusement qu'on découvre les sublimes îles de Galapagos, parce que pour le reste....... au secours !
Quand j'ouvre un livre c'est pour découvrir, rêver, m'identifier, partager........
pas pour revivre un cauchemar.
Et le covid, plus de deux ans intolérables, de vie surréaliste, de traumatismes …. on en sort à peine.
Alors, replonger dedans pendant presque 400 pages, non merci, c'est pas pour moi.
Deux étoiles pour ces superbes îles, c'est tout.
Le nouveau roman de Jodi Picoult est une belle lecture qui m'a transporté dans un voyage inattendu.
L'histoire tourne autour de Diana, une femme dont la vie semble parfaite. Elle a un petit ami aimant, un emploi de rêve et tout ce qui lui manque, c'est une bague au doigt. Convaincue que Finn va lui demander sa main lors de leur escapade aux Galapagos,
Diana se prépare à vivre le moment le plus important de sa vie. Cependant, les plans sont bouleversés lorsque Finn est appelé d'urgence à l'hôpital et lui demande d'aller seule dans cet archipel paradisiaque.
À contrecœur, Diana s'envole pour les Galapagos, mais rien ne se déroule comme prévu. Son bagage est perdu, l'hôtel est fermé et il n'y a pas de wifi. Elle se retrouve complètement déconnectée du monde et forcée de sortir de sa zone de confort. C'est alors que commence un voyage intérieur où les rencontres et l'introspection vont remettre en question sa vision de la vie et du bonheur.
L'autrice nous surprend avec un retournement inattendu qui nous emmène aux frontières du réel. Les paysages enchanteurs des Galapagos se mêlent soudainement à la réalité brutale de la pandémie de Covid-19.
L'histoire nous plonge au cœur de cette crise mondiale, aux côtés des soignants qui luttent sans relâche pour sauver des vies.
Un récit surprenant et captivant qui explore les thèmes de l'amour, de la remise en question et du sens de la vie. Avec une construction originale et des rebondissements inattendus, Jodi Picoult nous offre une histoire riche en émotions qui ne laisse pas indifférent.
Une lecture qui nous pousse à remettre en question nos choix, nos attentes et nos priorités, et qui nous rappelle que parfois, le véritable bonheur se trouve là où on ne l'attendait pas.
Sans être un coup de cœur, c'est une lecture à recommander pour ceux qui cherchent un roman qui les fera voyager et réfléchir. (La couverture est magnifique en plus)
Ma préférence reste pour son autre roman, Mille petits riens, qui a été un méga coup de cœur.
https://www.instagram.com/claudia.passionlivres/?hl=fr
Une carrière professionnelle réussit, deux enfants, une ferme rénovée, Finn et Diana ont les mêmes projets et les mêmes rêves. Nul doute que lors de leur prochain voyage aux Galapagos, Finn va lui offrir une bague et la demander en mariage. le jour où ils ont réservé leur séjour, la conseillère de l'agence leur a dit que ce voyage allait changer leur vie. Elle ne croyait pas si bien dire.
Un roman surprenant à la construction très originale. Alors que l'on pense être plongé dans une banale histoire d'amour, Jodi Picoult par un retournement inattendu entraîne son lecteur à la frontière du réel qui va conduire le personnage principal à une totale remise en question. Des paysages enchanteurs des Galapagos, l'auteur nous immerge soudainement de manière très réaliste en plein cœur de la pandémie de Covid 19, au milieu des soignants qui se battent jour et nuit jusqu'à l'épuisement pour sauver des gens. Une réflexion sur la futilité de notre quotidien, sur le sens que l'on souhaite donner réellement à sa vie. Un livre rempli d'émotions
Nous sommes à New York en mars 2020; Diana, 29 ans, qui travaille chez Sotheby's et Finn, son compagnon, interne en chirurgie, s'apprêtent à partir en vacances aux Galápagos. Mais celui-ci est réquisitionné car la COVID-19 commence à faire des ravages. Diana part seule mais arrivée sur Isabela, une des îles de l'archipel, le confinement est décrété. Elle est bloquée sur place, sans WI-FI, sans argent, sans sa valise. Elle est prise en pitié par une vieille femme puis elle se lie d'amitié avec sa petite-fille, une adolescente mal dans sa peau et avec son fils, ancien guide, qui exploite une ferme. Ce changement radical de vie et d'environnement vont la faire s'interroger sur elle et ses attentes.
Je n'aurais probablement pas été attirée par ce roman tant la couverture très colorée et un peu naïve et le titre évoquent un feel-good ou une romance dans un lieu paradisiaque si l'auteure n'avait pas été Jodi Picoult que j'apprécie à la fois pour les thèmes qu'elle développe et son écriture intimiste.
Ce roman est tout à fait particulier et différent de ce que j'ai lu de l'auteure jusque là sur, au moins, deux points:
* à la moitié du roman, elle nous met KO par un retournement de situation complètement inattendu, qui nous laisse désarçonnés, perdus comme l'est d'ailleurs l'héroïne; en fait, on dirait que nous avons à faire à deux romans en un seul avec le même personnage principal, Diana
* elle intègre une personnalité très connue, dont elle change bien sûr le nom, mais qui est facile à reconnaître si on s'intéresse aux Beatles.
En revanche, ce qui ne change pas , pour mon plus grand plaisir, c'est le foisonnement des thèmes traités parmi lesquels je retiens la préservation de la nature à l'état sauvage, les choix matériels de vie que l'on programme comme des objectifs à atteindre pour se rassurer et doter la vie d'un peu de prévisibilité, les relations mère-fille.
Elle nous fait pénétrer dans des milieux totalement opposés : les services COVID et un EHPAD mais aussi le monde un peu mystérieux des ventes aux enchères de luxe chez Sotheby's. A ce propos, je suis surprise qu'à la page 113, Suzanne Valadon devienne Valandon; les femmes artistes ont eu tellement de mal à se faire un nom surtout fin XIXème-début XXème siècle que je trouve vraiment peu respectueux d'estropier son nom.
Enfin, ce roman m'a fait découvrir de l'intérieur les îles Galapagos, du moins l'une d'entre elles, avec sa faune étonnante, ses paysages sculptés par la lave, ses lagons.
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