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Véritables chefs-d'oeuvre de la vie de tous les jours pour certains, objets familiers du quotidien pour d'autres, les FRUIT STICKERS (autocollants que l'on trouve sur les fruits) sont l'un des symboles les plus immédiats de l'internationalisation des échanges et reflètent, dans un marché toujours plus concurrentiel, la folie créatrice d'artistes prêts à tout pour « déstandardiser » le fruit. Emblèmes drôles, osés, fragiles et colorés, ces étiquettes déjantées de quelques centimètres s'avèrent être, pour de nombreux designers, illustrateurs, artistes ou graphistes, des objets à haute valeur affective, une source d'inspiration.
Utilisés par les producteurs du monde entier - les premiers à avoir collé des autocollants sur leurs produits, notamment l'emblématique entreprise Chiquita, le firent pour des raisons pratiques : masquer les taches brunes pouvant apparaître sur les bananes - pour rendre identifiable la marchandise, nombreux sont ceux qui font la collection des FRUIT STICKERS ; l'on parle désormais de la communauté des « légufrulabélophiles ».
Détournés ou réinventés, divers usages autour de ces étiquettes ont émergé depuis quelques années. L'ouvrage FRUIT STICKERS souhaite mettre en lumière ces oeuvres exotiques en provenance d'Asie, d'Afrique, d'Océanie, d'Europe... et auxquels l'on ne prête pas assez attention.
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