"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce récit vivant écrit à la première personne donne une vue globale de la protection judiciaire de la jeunesse qui intègre l'ensemble des acteurs concernés par l'accompagnement éducatif : les équipes éducatives, les partenaires, les familles des jeunes.
À l'heure de l'abrogation hautement symbolique des ordonnances de 1945, l'auteur interroge les impacts de la réforme de la justice des mineurs avec l'avènement du Code de justice pénale des mineurs (cjpm) et ses répercussions sur la relation éducative. Elle aborde de front la question de savoir comment travailler en post-sentenciel, avec des mineurs officiellement reconnus coupables par la justice. En explorant la dimension forcément collective de la relation éducative dans un foyer de la pjj, elle porte un regard aigu sur les difficultés du travail en équipe, sur les illusions d'un accordage des visions éducatives selon le seul intérêt de l'enfant, sur la singularité de la place de la « femme éducatrice » dans un environnement essentiellement masculin, sur les liens entre la délinquance et la psychiatrie concernant des mômes aux vécus chaotiques, sur l'impact des vécus parentaux sur le devenir de ces mineurs, etc.
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