L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Plus vive que jamais, la question de 'l'identité' rebondit dans l'Europe mondialisée, mais c'est là un vieux problème. Se sentait-il Français, Rousseau, lui l'enfant de Genève ? Et Benjamin Constant, ce Lausannois à l'aise en trois langues, universel lui aussi par sa pensée et son oeuvre littéraire, quel sentiment éprouvait-il envers la Suisse ? A Paris, voyait-on en lui un compatriote ou un homme d'ailleurs ? De ses riches recherches, Roger Francillon ne tire pas ici une histoire littéraire résumant celle dont il a dirigé la publication en quatre volumes. Il choisit de relire des écrivains dans une perspective identitaire, du 18e siècle à nos jours. Il expose leur attitude à l'égard de la Suisse, des lettres romandes, de Paris ou de la France. On est frappé par des jugements singulièrement critiques. Les courants sont contradictoires à chaque époque mais aussi dans l'esprit même des auteurs. Sur la Suisse on passe des réticences de Ramuz à la ferveur de Rougemont, et des réserves de Mercanton à la position sereine de Starobinski.
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