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En lisant ce recueil, on comprend que Jack Küpfer puisse aimer les poètes élisabéthains, le romantisme, les surréalistes.
Plus encore, l'art gothique, son bestiaire, ses gargouilles, ses cathédrales. L'atmosphère qui émane des premières sections du recueil rappelle Le Triomphe de la mort de Brueghel ou les oeuvres tourmentées du peintre allemand Max Beckmann. Même lorsque le poète évoque les vertiges du monde moderne, ce « grand-huit de l'argent facile » et les traders qui « planent sur les rails du pillage ». Bonheur de vivre et idéal semblent perdus, bafoués, jusqu'à la prémonition d'une cité parfaite et de l'amour retrouvé.
Sous la plume envoûtante de Jack Küpfer, la poésie devient une allégorie du rapport au monde, de la descente aux abîmes à cette vie nouvelle à laquelle aspire le poète.
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