A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
«On va donc lire Chêne et chien (1937), la Petite cosmogonie portative (1950), avec, en supplément, le Chant du Styrène, inédit. L'union des contraires, c'est-à-dire du plus intime - la confession de Chêne et chien a été publiée la même année qu'Odile - et du moins intime, l'universel de la science, ferait-elle l'unité du recueil ? Peut-être. Les deux ouvrages n'ont pas été écrits l'un pour l'autre. Mais en les unissant on les rattache au même genre de la poésie didactique. En un temps où le roman n'avait pas encore droit de cité dans la littérature, Boileau - note Raymond Queneau - "en signalant la nouveauté de ces 'poèmes en prose que nous appelons romans'en a par là-même reconnu la nature". C'est rappeler cette nature que de donner à Chêne et chien le sous-titre : "roman en vers". D'autre part, l'aventure de la science n'est-elle pas l'épopée de la pensée moderne, une épopée qui mérite d'être traitée en Chants ? Dans cette perspective, si Chêne et chien n'est pas le premier poème didactique pour psychologues, car sans doute devrait-on citer avant lui l'Art d'aimer et les Remèdes d'amour, à coup sûr il est le premier et, je pense, le seul valable, jusqu'ici, à traiter de psychanalyse. Et c'est bouleversant.» Yvon Belaval.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...