Ces femmes qui tuent : D'Agrippine à Marie Besnard, les grandes empoisonneuses de l'Histoire

• Date de parution : 27/02/2025
• Editeur : Archipel
• EAN : 9782809849592
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : 288
• Collection : ESSAIS ET DOCUMENTS
• Genre : (-)
• Thème : Pamphlets politiques Faits de société, Témoignages, Actualité, Biographies
• Prix littéraire(s) : (-)

La marquise de Brinvilliers, Madame Lafarge, Violette Nozière, Marie Besnard... Accusées et parfois condamnées à tort, ces femmes ont défié les moeurs d'une société patriarcale pour échapper à un sort cruel. Le portrait de 13 grandes empoisonneuses de l'Histoire qui n'avaient peut-être que le... Voir plus

La marquise de Brinvilliers, Madame Lafarge, Violette Nozière, Marie Besnard... Accusées et parfois condamnées à tort, ces femmes ont défié les moeurs d'une société patriarcale pour échapper à un sort cruel. Le portrait de 13 grandes empoisonneuses de l'Histoire qui n'avaient peut-être que le poison pour s'affranchir...



Treize empoisonneuses et un destin commun : briser les chaînes de l'oppression.

Elles étaient treize. Treize empoisonneuses : la marquise de Brinvilliers, Catherine Voisin (dite « la Voisin »), Madame Lafarge, Violette Nozière, Marie Besnard... Toutes auréolées d'une légende maléfique... pas toujours justifiée au demeurant.

Toutes ont tué, ou du moins été accusées d'avoir tué. Mais pas n'importe comment : par le poison. Jadis, les femmes étaient traditionnellement censées se soumettre à leur père puis à leur mari, avant de se sacrifier à leur famille. Et c'est parce que les empoisonneuses ont transgressé cette règle non écrite qu'elles suscitent une telle réprobation. Pourtant, nombre d'entre elles avaient de bonnes raisons de vouloir s'affranchir du sort qui leur était dévolu...

Quelles circonstances les ont conduites à empoisonner leurs proches ? Quels étaient leurs mobiles ? Avec le souci de restituer fidèlement leur histoire, Gérard Morel raconte treize histoires de femmes qui ont scandalisé leur époque... mais pour qui, peut-être, le poison représentait l'unique et discrète issue vers la liberté.