On le sait, le haïku ancestral se fonde presqu'uniquement sur la nature dans une perspective d'espace-temps. Chaque instantané immobilise une facette des jours et des saisons qui passent et nous conditionnent. L'amour y apparaît presque comme un épiphénomène de la nature.
Le terme « bréviaire », lui, se définit d'abord comme un condensé de textes religieux, liés au calendrier liturgique.
À la suite de ce Bréviaire, nous trouverons deux textes assez longs, aux antipodes des haïkus, peut-être pour mieux faire apparaître au lecteur le contraste de deux arts poétiques opposés que chacun appréciera selon ses inclinations personnelles.
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